On parle pas mal de sucre cette fois ci, la plus commune et une des plus dangereuses des drogues.
Le lien entre diabète infantile mal controlé et développement cérébral du petit enfant.
Long commentaire original de Olivier Soulier à lire en détail.
Comment une émotion donne un trouble somatique, qui lui-même va donner une attitude psychologique potentiellement pathologique.
Voilà une information apparement banale dans le flot d’actualités médicales, mais qui peut représenter une confirmation importante dans les processus de somatisation.
Pour comprendre cette cascade il faut intégrer un certains nombre de points.
L’origine du diabète en général et particulièrement de type 1, dit maigre ou insulino dépendant.
Il correspond à un problème vécu avec l’autorité parentale, plutôt masculine, mais surtout l’autorité en général.
La relation du parent à l’enfant est-elle sécurisante ? L’autorité est-elle utilisée pour rassurer, sécuriser l’enfant ou trop forte, trop dure, mal adaptée, a t-elle un rôle cassant sur l’enfant ? Celui ci pourra alors réagir en résistant ou en tentant de résister à cette autorité et ce sera la porte du diabète.
Comprendre cette première phase, c’est accepter à priori ce principe de fonctionnement du diabète.
Mais alors, puisque cette étude porte sur des enfants très jeunes comment concevoir ce processus déjà à cet âge. A titre d’exemple je citerai cette fameuse théorie « il fait laisser pleurer les enfants, ça leur fait les poumons » ou encore « ce ne sont pas les enfants qui vont commander ».
On pourrait aussi parler du vécu stressant des grossesses.
Tous éléments qui font que déjà petit, l’enfant peut avoir ce vécu.
N’oublions pas les toxiques qui sont pour l’organisme vécu comme des agressions, de véritables punitions de notre biologie.
Phase suivante, en suivant cet article ci-après, un diabète infantile peut donner des troubles du développement cérébral. C’est l’apport de cet article.
Et ce trouble cérébral va pouvoir entrainer des troubles du comportement. L’instabilité assez classique du tempérament des diabétiques.
Notons aussi que le couple insuline glucagon assure une fluidité dans le maintien de la glycémie, élément essentiel à l’équilibre psychique. (Voir le livre « La digestion… » où tout est clairement expliqué en détail : https://editions.lessymboles.com/produit/la-digestion/)
A défaut, l’organisme recourra en cas de stress pour maintenir sa glycémie au couple Adrénaline Cortisone. Avec des réactions agressives pour s’en sortir, voir dépressives.
Nous voyons le cycle, stress, lésions cérébrales, troubles du comportement, risque de réaction agressives ou dépressives.
