Cette semaine une vision de la neurologie et des nouvelles maladies.
Il y a 40 ans des maladies comme la maladie d’Alzheimer, qui touche aujourd’hui 850 000 personnes en France, ou l’autisme, qui touche presque un million d’autistes (TSA trouble du spectre autistique), n’existaient pas.
La maladie de Parkinson, qui touche presque 200 000 personnes en 2018, est aussi en augmentation régulière.
Que se passe t-il ?
La maladie de Parkinson existe depuis longtemps mais est en forte augmentation.
Autisme et Alzheimer sont des nouvelles maladies qui n’existaient quasiment pas il y a 50 ans.
Comment sont-elles apparues, qu’est ce qui les a générées ?
Pour la maladie d’Alzheimer, nous savons qu’un des meilleurs moyens de l’attraper est de prendre au long court des anxiolytiques et des somnifères de la classe des Benzodiazépines. Son mécanisme apparait de plus en plus comme une inflammation chronique de type post infectieuse.
Nous verrons que des virus comme l’herpès de type 6 et 7 sont impliqués dans la maladie d’Alzheimer. Ce virus est l’agent de la roséole infantile. Il y aurait donc un lien entre les deux maladies. Et on peut se demander si la roséole infantile ne protège pas de la maladie d’Alzheimer.
Voir l’article plus bas.
Mais nous réalisons aussi que ces maladies sont liées à des intoxications chroniques, pour l’autisme, et des inflammations chroniques, Alzheimer.
Il faut vraiment s’interroger sur le fond de la pathogénésie de ces maladies.
Hyper sexualité, boulimie, jeux : les effets secondaires des anti parkinsoniens.
La maladie de Parkinson, nous le savons, est favorisée par les toxiques employés dans l’agriculture et devient une maladie professionnelle. Elle est d’ailleurs en nette augmentation, particulièrement dans les milieux agricoles.
Relisez l’article du Dr Olivier Soulier sur la maladie de Parkinson qui explique bien le mécanisme profond.
Lien : https://www.lessymboles.com/interview-le-sens-de-la-maladie-de-parkinson/
Quand on comprend le principe de la maladie de Parkinson avec une pulsion de base contrariée, on comprend mieux les effets secondaires de certains anti parkinsoniens. Il exercent une forme de désinhibition sur les pulsions de base des sujets. Cette action est logique, et physiologique : libérer une énergie bloquée qui est perpétuellement en lutte contre les principes et les bonnes manières. Sauf que cette énergie de base a été bloquée petit, quand ces pulsions violentes, sexuelles ou sans limites, étaient logiques, vers l’âge de 2 à 6 ans. A cet âge, l’enfant a le temps d’apprendre à les gérer avec l’aide de ses parents. Mais, quand vous débloquez ces pulsions brutalement chez un adulte souvent déjà âgé, elles envahissent un individu qui n’a jamais su les gérer puisqu’il les a toujours refoulées. C’est alors ingérable et débordant d’où ce que nous rencontrons. Achats compulsifs, hyper sexualité, exhibitionnisme, divorce suite à des conquêtes multiples, jeux, ruine financière. Troubles présents chez 51% des personnes qui prennent des antiparkinsonniens des plus courants. Ces patients se trouvent brutalement confrontés à des pulsions qu’ils ne comprennent et ne contrôlent pas. Ils ont honte d’en parler à leur médecin, et ne savent pas forcement que cela vient du traitement. Ces troubles ne sont réversibles que dans 50% des cas et au prix d’un syndrome de sevrage sévère. Comment un respectable sujet souvent assez « classique » peut se transformer en vieillard honteux et scandaleux ? Pas cool pour ceux à qui cela arrive.