• Sexualité et vie.
Nous versons au débat cette étude.
Les homophobes auraient une tendance psychotique plus forte, alors que l’homosexualité a été considéré longtemps comme une maladie.
D’une façon plus globale, cet article, avec humour, nous dit que nous sommes tous un peu fous, et là, je suis assez d’accord. En fait, chacun s’adapte comme il le peut à ce qu’il a vécu. La sexualité, force de vie fondamentale, tente de s’accomplir dans tous les cas. Chacun ses trucs, ses univers, ses fantasmes, ses solutions. Elles sont à regarder avec l’idée : « par où ai-je besoin de passer pour contourner les obstacles et les souffrances de mon histoire ? Que dois-je mettre en scène et rejouer pour arriver à ma liberté ? Quelles entraves suis-je entrain de tenter de régler ? »
Chacun est à la rechercher d’une liturgie qui le délivre.
Alors vu comme cela, normalité théorique, homosexualité, homophobie, et toute autre manière d’aborder la vie, peut se voir dans sa forme de désir de vivre, de structure de protection contre ses blocages et de tentative de solution.
La question est : puisque chacun a son problème et tente de le solutionner, chacun a à porter sa propre difficulté sans la reporter sur les autres, c’est peut-être justement là la limite ?
Nous pouvons refuser les actes sexuels de non respect de l’autre, mais nous devons refuser tout ce qui va transmettre à la génération suivante une difficulté non résolue.
Que ce soit des abus sexuels, des abandons, des interdictions de connaitre l’identité de ses parents. Chaque enfant, chaque génération, a le droit de repartir dans la vie, avec deux parents, un père et une mère et d’en connaitre l’identité. Après, que ses parents vivent leur vie différemment, c’est leur problème, mais l’enfant lui a des bases qui lui permettront de vivre son histoire sans entériner l’histoire de la génération précédente.
Lien : http://www.lessymboles.com/?p=9599
• Alcool et personnalité.
Une hormone agit à la fois sur le diabète et le besoin d’alcool.
Cette hormone est la GLP-1. Forme de Glucagon.
Je l’ai expliqué dans le livre « La digestion, les clés du poids, les formes et les dépendances »
Lien : http://editions.lessymboles.com/produit/la-digestion/
Comment fonctionne le système de poids avec Père Glucagon et Père Insuline ?
Nous voyons qu’une perturbation de ses archétypes dans leur mise en place dans notre corps peut générer, diabète, anorexie, obésité.
Ici, nous voyons le rôle de l’alcool, il accélère la libération de Dopamine, le neurotransmetteur de la mise en route de l’action, de l’initiation du désir propre. Et c’est bien cela qui manque chez les alcooliques et un peu plus tard dans la cascade des conséquences chez les diabétiques.
Ai-je pu manifester mon propre désir, mes parents l’ont il favorisé ou simplement laissé faire ?
L’alcool apparaît ici comme un libérateur, mais aussi comme une illusion et une drogue si cette libération n’est pas mise en acte.
Vous pouvez retrouver cela dans le DVD « Le sens des désirs alimentaires »
Lien : http://editions.lessymboles.com/produit/dvd-le-sens-des-desirs-alimentaires/
Logique que l’hormone qui agit sur cette chaine physiologique ou pathologique puisse agir tant sur la cause que sur les conséquences.
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Après, chacun est face à lui-même et souvenons nous bien de la phrase du grand psychanalyste Willy Barral, « chacun doit payer le prix de son désir ».
• Dans le même domaine, connaissez-vous le Binge Drink, ou Biture exprès qui consiste à boire si vite de l’alcool que vous êtes irrémédiablement saoul avant de l’avoir senti venir. Plus encore, vous buvez tellement que vous êtes emporté par la dose d’alcool, une forme d’explosion du contrôle, un pari d’explosion de soi.
Voyons là une tentative désespérée de briser les blocages, avec cependant des grands risques, comme de sauter sans parachute pour tenter de lever un blocage.
Mais la question ici est aussi le blocage. Quel est-il pour que nos jeunes aient besoin de techniques aussi violentes ?
Neurologiquement ces absorptions brutales et massives d’alcool font des lésions de destruction dans le cerveau, comme s’il fallait casser la mémoire pour pouvoir enfin exister.
Les lésions de la substance blanche font curieusement penser aux lésions de la sclérose en plaque. Comme si, dans ces deux situations, le sujet ne trouvait que la destruction pour sortir de ses enfermements. A méditer.
Lien : http://www.lessymboles.com/?p=9605
Le DVD du Congrès Médecine du Sens est maintenant disponible.
Découvrez un extrait de la conférence sur les métaux lourds du Dr Philippe DRANSART
Lien : http://editions.lessymboles.com/produit/dvd-congres-medecine-du-sens/
Prochains séminaires :
• LECTURE DU CORPS Séminaire de synthèse
Les 16 - 17 - 18 octobre 2015, à TOULOUSE
Lien : http://www.lessymboles.com/seminaire/lecture-du-corps/
• LES SENS DES DESIRS ALIMENTAIRES au QUEBEC
Du 29 octobre au 1er novembre 2015, à Montréal
Lien : http://www.lessymboles.com/olivier-soulier-au-quebec/
• MALADIES AUTO IMMUNES, le grand défi du 21ème siècle
Les 13 - 14 - 15 novembre 2015, à PARIS
http://www.lessymboles.com/seminaire/maladies-auto-immunes/
• LES SYMBOLES dans l’art et la création
Les 4 - 5 - 6 décembre 2015, à PARIS
Lien : http://www.lessymboles.com/seminaire/les-symboles/