Archive d’étiquettes pour : violence

Violences de manifestations du premier mai

"Le monde du travail ne reculera pas plus devant ce type d'agressions que face aux politiques libérales"

Ma mère : mon agresseur

C'est avec beaucoup de circonspection que nous levons un coin du voile sur les agressions sexuelles commises par des femmes, le plus souvent la mère.

Don Helder Camara : « Il y a trois sortes de violence…

La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle...

Violences et transgénérationnel : et si les conséquences devenaient génétiques ?

Dans un article du journal international de médecine publié…

La violence sur les enfants laisse des traces sur leur cerveau.

Commentaire. Nous en avons souvent parlé.  Le figaro revient…

Conséquences fatales d’une exposition précoce à la violence ordinaire

Maltraitances physiques, psychologiques, abus sexuels, harcèlements, affrontements entre groupes... Triste catalogue de la violence ordinaire !

Châtiments corporels et fessées : l’Assemblée nationale fait un pas vers l’abolition

À l'occasion de l'examen du projet de loi « égalité et citoyenneté », dans la nuit du 1er au 2 juillet, l'Assemblée nationale a adopté un amendement proscrivant toute violence corporelle, verbale, et psychologique, exercée par les parents sur les enfants.

L’incroyable neuroscience des batteurs

Les batteurs sont peut-être la cible des blagues dans le monde de la musique, mais la science déclare que les batteurs ont un avantage sur tout le monde.

Beaucoup plus de risques d’être exposé à la violence pour les malades mentaux

Si le grand public associe volontiers certains faits divers à la violence et à la criminalité attachée à la maladie mentale, une enquête réalisée au Royaume-Uni montre que l’inverse tend plutôt à se produire dans la réalité

La violence des conflits armés, une transmission de génération en génération

Un peu partout sur la Terre, trop d’enfants demeurent encore exposés aux ravages physiques et psychiques de la violence et des guerres. Selon l’UNICEF[1], « plus d’un milliard d’enfants et d’adolescents vivent dans des zones concernées par des conflits armés. » Et même dans les pays non directement touchés par la guerre, sa réalité brutale s’impose à travers l’âpreté des images télévisées,

Fessée : 10 raisons de l’interdire, ainsi que toutes les autres punitions corporelles

Comment ce droit coutumier de correction toujours en usage, reconnu par la Cour suprême en 1819 et s’exerçant dans le cadre de l’autorité parentale, peut-il être conciliable avec le devoir de "protéger l’enfant dans sa sécurité, sa santé et sa moralité, pour assurer son éducation et permettre son développement dans le respect de sa personne" (article 371-1 du code civil) ? Pourquoi n’est-il pas abrogé ?

Fessées et gifles : les punitions corporelles entraînent phobies, Toc et… désobéissance

Extraordinaire article à lire très en détails. Description très précise de ce qui se produit quand on utilise les punitions corporelles. Nous sommes avec la sidération et le conditionnement de l’enfant, au coeur des processus des maladies futures. Notons au passage l’anesthésie émotionnelle que nous retrouvons tant chez l’adulte et le parent avec des dégâts considérables sur la génération suivante.

Un effet cumulatif des facteurs de risque en matière de psychose

Voilà encore un article qui parle du lien, psychose - traumatisme de l’enfance. Si nous mettons cela en lien avec l’article sur les causes génétiques de la schizophrénie, l’ensemble devient cohérent.

Plutôt recevoir des chocs électriques que s’ennuyer, diraient les hommes

Henri Laborit nous l’a bien expliqué dans le film de Alain Resnais «Mon oncle d’Amérique». L’agressivité permet de mieux supporter le stress. Pour certains, le stress peut être simplement de ne rien avoir à faire. Mais ce rien peut renvoyer à l’émergence de souffrances masquées par l’action. La méditation et le calme demandant beaucoup de sérénité intérieure.

Des liens complexes entre maltraitance et mort subite du nourrisson.

La mort subite inattendue du nourrisson (MSIN) a des étiologies diverses. Plus de la moitié des cas entrent dans le cadre du syndrome de mort subite (SMS) ou Sudden Infant Death Syndrome (SIDS) dont le diagnostic ne peut être accepté qu’après une autopsie complète, une enquête sur les lieux du décès et l’analyse des antécédents médicaux. Les certificats de décès peuvent encore comporter, dans 14 % des cas, la mention accident de suffocation ou de strangulation dans le lit, ce qui vient ajouter à la confusion. Enfin, environ 30 % des décès sont notés comme de cause non spécifique.