Archive d’étiquettes pour : sexe

Le Canada recommande le port du masque pour faire l’amour

Le sexe en solitaire, la pratique la plus sûre.

L’érection fidèle indicatrice de la santé

... les épidémiologistes se sont aperçus que l’apparition de troubles sexuels pouvait précéder l’apparition d’un problème de santé dans l’année qui suit.

Ôtez ces poils que l’on ne saurait voir !

Tous les praticiens, à l'exception peut-être des psychiatres, ont constaté une augmentation très nette de la prévalence de l'épilation pubienne parmi leurs patientes.

La restriction calorique, bon pour le moral et …le sexe ?

La restriction calorique allonge l’espérance de vie des primates. Cela est avéré chez certaines espèces proches de l’homme, et supposé chez l’humain.

Le sexe des bébés serait déterminé par un virus

Chez les mammifères, y compris l'être humain, le sexe pourrait être déterminé par une simple modification d'un virus fossile incrusté dans l'un des chromosomes sexuels.

Hommes et femmes aiment parler vulgairement pendant l’amour

Les mots crus que l’on se dit pendant l’amour. Les femmes aiment cela encore plus que les hommes. Les femmes aiment parler de soumission pendant que leur partenaire parle de domination.

Le sexe du placenta influence le destin de l’embryon

Le sexe influence notre devenir. Voici un élément de plus. Nous avions vu que si les conflits de couple donnent deux fois plus de somatisation, ce sont surtout les hommes qui y sont sensibles, les femmes dans un premier temps n’étant que très peu affectées. Ce matin dans le train, ma voisine voyant mon commentaire me déclarait «c’est normal, nous les femmes, on les provoquent ». Intéressant ! Je lui laisse la propriété de son propos. Humour... Revenons à notre placenta : il est sexué, c’est à dire qu’un placenta de garçon n’a pas les même propriétés qu’un placenta de fille (et cela se joue sur 140 gènes qui s’expriment différemment dans le placenta selon le sexe du bébé).

La ‘superbactérie du sexe’ qui n’en est pas une…

Le Point s’intéresse à « une campagne médiatique venue d'Amérique [qui] laisse craindre la propagation d'une bactérie plus ravageuse que le sida. Qu'en est-il vraiment ? », s’interroge l’hebdomadaire. Le magazine explique que « depuis plusieurs semaines, la rumeur d'une "super bactérie du sexe" affole les réseaux sociaux. La bactérie H041 […] "serait bien pire que le sida, capable de tuer en quelques jours et de se propager rapidement d'homme à homme" ».