Archive d’étiquettes pour : alcool
Fibrillation Auriculaire (FA) et alcool ne font pas bon ménage.
Moins d’alcool (beaucoup moins), moins de FA (un peu moins)
Les cas de démence vont tripler dans le monde d’ici 2050
L'âge constitue le principal facteur de risque du déclin cognitif, mais la démence "n'est pas une conséquence naturelle ou inévitable de la vieillesse", assure l'OMS.
L’effet psychoactif sur le cerveau des aliments
« Les gens aiment la façon dont le café et l'alcool les font se sentir. C'est la raison pour laquelle ils en boivent »
Consommé avec modération, l’alcool limiterait les risques de démences et préviendrait la maladie d’alzheimer
Ces résultats s'ajoutent à d'autres qui suggèrent des bienfaits de faibles doses d'alcool.
L’alcool donne faim, mais pourquoi ?
On pourrait en effet se dire que , puisque l'alcool est hypercalorique, les signaux de faim devraient être inhibés et donc que nous devrions manger moins.
« Le lymphome, une maladie non politiquement correcte ! »
Dans Le Point, le Pr Didier Raoult, spécialiste des maladies infectieuses tropicales émergentes à la faculté de médecine de Marseille, se penche sur « le huitième plus commun des cancers chez l'homme et le onzième chez la femme. Le cancer des ganglions (lymphomes non hodgkiniens) est en augmentation de 2 à 3% par an dans les pays développés et l'on estime qu'il y a près de 400.000 cas par an dans le monde ».
Binge drinking: comment la mémoire est-elle touchée?
Connaissez-vous le Binge Drink, ou Biture exprès qui consiste à boire si vite de l’alcool que vous êtes irrémédiablement saoul avant de l’avoir senti venir. Plus encore, vous buvez tellement que vous êtes emporté par la dose d’alcool, une forme d’explosion du contrôle, un pari d’explosion de soi.
Les gens intelligents boivent plus d’alcool que les autres
On savait déjà que les gens intelligents se couchent tard. Autre bonne nouvelle pour les fêtards: les gens intelligents sont aussi ceux qui consomment le plus d'alcool. C'est ce qui ressort d'une nouvelle étude réalisée par des chercheurs finlandais, et rapportée par The New Republic, qui ont mis en évidence une corrélation entre intelligence et consommation d'alcool.
Les hommes ont un faible pour le salé, les femmes pour le sucré
Voilà une info qui a eu du succès et a été reprise par de nombreux journaux comme nous le montrons.
Petit lexique du sens des désirs alimentaires comme nous aimons.
Le gras sert à protéger, à se défendre. Ce sont donc les plus pauvres et les plus stressés émotionnellement qui en réclament et le recherchent. La femme enceinte aussi puisqu’elle protège et nourrit son bébé.
Le sucré parle du lien à la mère. Ce sont les femmes qui le réclament le plus.
Le salé parle du lien au père, ce sont les hommes qui le recherchent.
Alcool et risque de fibrillation atriale
Pour comprendre prenons les choses de façon symbolique.
Nous sommes devant le problème des troubles du rythme cardiaque, ou des tachycardies supra ventriculaires.
La FA ou fibrillation auriculaire parle d’un problème familial ou transgénérationnel que je subis et que je ne peux pas contester, mais que je vois.
Cancer : où est vraiment le risque ?
Un article qui dit des choses évidentes mais si révolutionnaires sur l’origine des cancers.
Et qui étudie sans préjugés la réalité de nos réactions."La surprise de découvrir que le tabac n'était finalement pas si dangereux pour la santé, pas plus que l'alcool, et que les régimes alimentaires tant vantés jusqu'ici n'étaient pas si protecteurs, pas plus que le sport.... l'importance du stress dans la maladie cancéreuse..."
La vodka tue, c’est prouvé ! C’est normal, c’est le but !!!
Philipe Pétain s'était rendu célèbre (entre autres !), par l'aphorisme inattaquable : le feu tue. Richard Peto renforcera-t-il sa notoriété en épidémiologie avec la conclusion tout aussi inattaquable d'une étude qu'il cosigne : la vodka tue.
En substance, des épidémiologistes russes, britanniques, français et américains se sont associés pour évaluer les conséquences sur la mortalité de la consommation d'alcool et plus spécifiquement de celle de vodka couramment utilisée pour des alcoolisations massives.
L’alcool protégerait de la SEP…
Il a été observé que les buveurs d’alcool (par rapport aux non-buveurs) avaient un risque moindre de présenter certaines maladies auto-immunes, comme la polyarthrite rhumatoïde, l’hypothyroïdie auto-immune et le lupus systémique, avec un effet dose-dépendant. Pour la sclérose en plaques (SEP), les données actuelles sont moins probantes mais deux études cas-contrôles menées en Suède retrouvent le même type d’association inverse entre la consommation d’alcool et le risque de SEP.
LA SYMBOLIQUE DU VIN – Bio contact – Octobre 2008
Depuis l'Antiquité, le vin est marqué par la symbolique et,…