Bonjour à toutes et à tous
Cette phrase va magnifiquement à nos gouvernants et à la grande finance mondiale.
D’une certaine façon elle dit tout.
Le rouleau compresseur continue d’avancer et nous devons tous réaliser que la dictature avance à grands pas. Si elle n’est pas déjà là et s’il n’est pas déjà trop tard.
La manipulation continue. Les chiffres officiels sont faux.
Selon le Réseau Sentinelles, réseau très officiel, seuls 3% des cas positifs officiels seraient des Covids.
Rapport de Helène Bannon du CSI du 15 avril 2021. Immédiatement censuré sur Youtube. Cela devient un gage de vérité.
Pourtant, il faudrait aborder l’épidémie totalement différemment. Nous ne comprenons pas le sens de cette épidémie. Elle est issue d’un déséquilibre que nous avons créé. Elle en est la conséquence. Depuis des décennies nous attaquons la nature, nous détruisons notre environnement qui réagit en nous envoyant des virus, qui sont autant de modes de défense à sa disposition dans les règles d’équilibre et de cohabitation des espèces humaines, animales et végétales.
Chaque espèce menacée dispose d’une arme ultime, qu’elle peut lancer autour d’elle, pour éviter sa disparition. Mais aussi quand une espèce est torturée, martyrisée, elle peut lancer ces armes. Déforestation, destruction des espèces, élevages en formes concentrationnaires.
Depuis 40 ans nous avons vu apparaître Sida, Grippes aviaire et porcine, Ebola, H1N1 et maintenant Covid 19. Ce n’est qu’un début, le pire est à venir.
La sagesse serait de comprendre ce qui se joue. La sagesse, mais aussi la solution.
Arrêter de détruire la nature. Mais aussi comprendre ce qui se passe pour nous.
Comment ce virus nous confronte à nos faiblesses et nos tares.
Faiblesses extérieures avec la destruction d’un système de santé conçu en flux tendu et qui ne sait plus du tout absorber les à-coups épidémiques.
Un système totalement tourné vers le profit, mais incapable de soigner l’humain.
Une bureaucratie délirante et totalement corrompue, une corruption systémique comme l’explique si bien Jean-Dominique Michel.
Des médecins dépossédés de leur droit de soigner par d’autres totalement vendus à la pharmacie mais qui ont le pouvoir.
Un système qui ne sait plus utiliser les armes et les remèdes qu’il a en main tellement tout est tourné vers le profit.
Faiblesses intérieures de sujets à l’immunité insuffisante ou dépassée et qu’il faudrait avant tout améliorer si l’on veut être capables d’affronter les épidémies futures. Population mal nourrie, emplie de pathologies qui se sont accumulées avec les années sans que jamais on ne cherche à comprendre pourquoi ou à ramener à l’équilibre.
C’est à ce niveau qu’il serait essentiel d’agir pour se prémunir.
L’immunité naturelle a toujours été la solution face aux grandes épidémies et c’est ce que cherche à créer le virus autant que le sujet.
Mais cette notion, pourtant à la base de la vie, a disparu très récemment du site de l’OMS au profit de l’immunité artificielle, entendez vaccinale. Profit exige.
Nous voyons aussi que tous les remèdes efficaces et pas chers sont systématiquement combattus.
Pire, nous attaquons ce virus sur ses armes : la protéine Spike en pensant la vaincre alors qu’il faudrait écouter et comprendre sa place, son rôle et son fonctionnement.
Mais nous sommes là devant le champion du monde des mutations, nous le savons depuis très longtemps. Jamais nous n’avons réussi à faire de vaccin contre les coronavirus.
Nous allons donc l’attaquer, le faire muter, déclencher des vaccino-échappements à la pelle. Avec chaque fois un virus plus dangereux et une course folle après la réaction de la vie par des vaccins qui sont déjà dépassés avant d’être mis en pratique. Avec au passage des milliers de morts.
Bill Gates avait dit lui-même que de vacciner toute la population mondiale coûterait 700 000 morts du vaccin.
Nous faisons totalement fausse route quand à la façon d’aborder le sujet.
Il faut comprendre les causes et les traiter.
Être capable de réagir positivement face au virus tant au niveau personnel immunitaire que hospitalier et médical.
Avoir la sagesse de comprendre la nature et d’utiliser les remèdes qu’elle nous a donné.
Arrêter d’exciter un virus qui n’est que le fruit de nous-mêmes et vient juste nous interroger sur notre manière de vivre.
Cette épidémie et celles qui vont suivre, vont être les fossoyeurs de notre ancienne manière de voir le monde.
Mais si nous ne comprenons pas, nous pourrons au passage y laisser des millions de morts.
Alors au calme essayons d’avoir la sagesse et de ne pas oublier l’adage du grand Claude Bernard : « La maladie n’est rien, le terrain est tout ».
L.V.