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"Le monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire".

Albert Einstein.

LES ARTICLES SELECTIONNES ET COMMENTES PAR OLIVIER SOULIER

SEP, l’hérédité pèse moins lourd que prévu

Les mécanismes de déclenchement de la sclérose en plaques (SEP) sont encore mal connus. Des facteurs environnementaux ont été incriminés, notamment certaines infections virales. Les enquêtes épidémiologiques ont aussi mis à jour l’implication de facteurs génétiques et plus de 100 gènes ou loci génétiques ont été décrits comme associés à la maladie. Il est encore difficile de déterminer précisément la part de chacun de ces deux types de facteurs dans l’apparition de la SEP.

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Des médecins s’alarment de la hausse des tentatives de suicide chez les jeunes filles.

Pascale Krémer note dans Le Monde que « la revue de formation médicale Le Concours médical dévoile les premiers résultats d'une enquête épidémiologique menée conjointement par la faculté de médecine et l'Institut universitaire de santé public de Poitiers et l'Observatoire régional de la santé d'Alsace ».
La journaliste explique que l’enquête a été menée en juin 2012 auprès de « 1.817 jeunes de 15 ans tirés au sort, dans 171 établissements scolaires des régions Poitou-Charentes et Alsace, ont répondu à un long questionnaire de 88 questions sur la santé ». Pascale Krémer évoque des « résultats inquiétants », soulignant qu’« à 15 ans, près de 21% des filles et près de 9% des garçons ont déjà tenté de se suicider ».

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Anorexie : la nécessité d’un regard holistique

L’anorexie mentale correspond à un refus de s’alimenter avec une peur obsessionnelle de prendre du poids. Cette privation est souvent accompagnée d’une détestation de son propre corps. La personne ne reconnaît pas sa maigreur dans le miroir et se trouve toujours trop grosse.

Il s’agit donc avant tout d’une pathologie de la perception de soi. La dénutrition entraîne une dégradation progressive de la santé qui peut conduire à une hospitalisation.

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Le Botox rend-il idiot ?

Le Botox rend-il idiot ?

C’est ce que se demande Pour la Science, qui note qu’« en paralysant les muscles faciaux, cette substance modifie les émotions que l'on peut ressentir, par exemple, en lisant un texte ».

Le magazine explique que « David Havas et ses collègues de l'Université du Wisconsin (Etats-Unis) ont injecté du botox à des jeunes femmes dans certains muscles du front où se forment les rides, mais qui servent aussi à exprimer des émotions négatives comme la tristesse ou la colère ».

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