Grippe et infarctus.
Nous avions déjà parlé des fréquences d’infarctus plus importantes au moment des fêtes.
Nous évoquions le rôle des émotions des réunions de famille dans la genèse de l’infarctus et le rôle de ces émotions anciennes et incarcérée bien sur dans toutes les maladies et particulièrement dans les infarctus. Nous avons évoqué cela ce dernier WE au séminaire Cœur Rein qui a été beaucoup apprécié. Quel espace de sécurité avons-nous pour exprimer notre cœur.
Ici il est question de grippe et d’infarctus.
La grippe nous en avons parlé récemment viens parler de transmissions transgénérationnelle. Elle vient nous confronter aux mémoires familiales non réglées. Tous les hivers elle vient faire son travail et nous avions dit qu’il y a un pic à chaque passage de génération. Naissance, parent vers 27 ans, grand parent au-dessus de 50 ans, puis arrière grand parent au-delà de 80 ans. A chaque fois cela confronte au relations ici entre générations et cela tente de solutionner, d’épurer les conflits résiduels. Logique alors qu’il y ait une augmentation des infarctus.
Il faut aussi se poser la question, est-il possible de bloquer totalement un tel processus naturel par la vaccination dont nous savons qu’elle n’agit pas à 100%. N’est-il pas préférable de laisser agir la grippe pour qu’elle fasse sa fonction chez des gens jeunes qui auront moins de risque d’infarctus et qui pourrons ainsi régler un transgénérationnel avec moins de casse.