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Le sel favoriserait les maladies auto immunes, ou simplement les mettrait en évidence ?

Le rhume des foins et la dermatite atopique ont plus que doublé depuis les années 1970, souligne la chercheure.

Certains troubles psychotiques comme la schizophrénie ou la bipolarité pourraient provenir d’une maladie auto-immune réversible

Il suffirait d'un diagnostic approprié pour guérir ces malades par des traitements immuno-suppresseurs connus.

Maladie auto immunes (MAI) et maniaco dépression (MD) ou bipolarité

Le résultat essentiel est la mise en évidence d’une incidence deux fois plus élevée de MB parmi les patients souffrant d’une affection auto-immune préalable que chez ceux sans problématique auto-immune

Activité cérébrale dans le système immunitaire

Une équipe de chercheurs internationaux, dont les travaux sont publiés dans la revue Nature, a découvert une activité similaire à l'activité cérébrale dans le système immunitaire.

Moins d’infections, plus de maladies auto-immunes

L’hygiène favorise les maladies auto immunes, encore un article qui va dans ce sens. La rencontre avec le microbe est comme la rencontre avec le monde, elle peut être difficile mais elle est essentielle. Comment savoir qui je suis si je ne me suis pas confronté à l’autre ?

Un cheval de Troie contre les maladies auto-immunes

Les parasites peuvent lutter contre l’inflammation de la maladie de Chron et des maladies inflammatoires du colon. (MICI). Cela illustre bien que chaque maladie a sa solution dans la nature.

La dépression a un rôle majeur dans l’incapacité au travail des malades atteints de lupus

Cet article pose un lien entre lupus (maladie auto immune) et dépression. Il l’aborde sous l’angle de traiter la dépression pour rendre le patient plus productif. En réalité la dépression fait partie du processus de cette maladie.

Sclérose en plaques : la piste du sel

Essayons de comprendre le rôle du sel dans le développement de la SEP. Le sel intervient dans la conduction nerveuse, ça nous le savons tous. Symboliquement le sel représente la connaissance. Il est aussi très en lien avec la fonction paternelle.

SEP, l’hérédité pèse moins lourd que prévu

Les mécanismes de déclenchement de la sclérose en plaques (SEP) sont encore mal connus. Des facteurs environnementaux ont été incriminés, notamment certaines infections virales. Les enquêtes épidémiologiques ont aussi mis à jour l’implication de facteurs génétiques et plus de 100 gènes ou loci génétiques ont été décrits comme associés à la maladie. Il est encore difficile de déterminer précisément la part de chacun de ces deux types de facteurs dans l’apparition de la SEP.

Où l’on reparle du dysfonctionnement immunitaire en psychiatrie

Contrairement à la vision simpliste reprenant la métaphore informatique opposant classiquement le « soft » (logiciel) au « hard » (matériel) pour assimiler la psychiatrie aux dysfonctionnements d’une sorte de « logiciel » cérébral, et la neurologie à ceux du substrat physique (anatomo-physiologique), des recherches récentes suggèrent que les choses seraient sans doute plus subtiles, et parfois imbriquées. On a découvert ainsi que certains troubles étiquetés « psychiatriques » (anxiété, dépression, confusion, troubles mnésiques, changement de personnalité, troubles du sommeil…) sont parfois liés à des pathologies auto-immunes.

L’alcool protégerait de la SEP…

Il a été observé que les buveurs d’alcool (par rapport aux non-buveurs) avaient un risque moindre de présenter certaines maladies auto-immunes, comme la polyarthrite rhumatoïde, l’hypothyroïdie auto-immune et le lupus systémique, avec un effet dose-dépendant. Pour la sclérose en plaques (SEP), les données actuelles sont moins probantes mais deux études cas-contrôles menées en Suède retrouvent le même type d’association inverse entre la consommation d’alcool et le risque de SEP.

Y a-t-il un contexte immunologique propice aux troubles de l’humeur ?

Coordonnée par des chercheurs de l’Université d’Aarhus (Danemark), une étude épidémiologique s’intéresse à « 3,56 millions de sujets nés entre 1945 et 1996 et suivis de Janvier 1977 à Décembre 2010 », et en particulier aux « 91 637 personnes hospitalisées pour des troubles de l’humeur » durant cette période, avec l’objectif d’évaluer l’incidence possible des affections auto-immunes et des infections sur le risque de troubles thymiques.