Archive d’étiquettes pour : endométriose

L’endométriose trop prise à la légère

Objectif : «Briser un tabou et réduire le retard de diagnostic de l'endométriose qui est actuellement de 7 ans»

L’endométriose : maladie du silence

« l’impact sur la vie sociale et professionnelle est lourd. Certaines femmes ne sont tout simplement plus en état de sortir »

Endométriose : la fin du tabou

Personne n’en parle. Ni celles qui en souffrent. Ni les médecins. Pourtant cette maladie touche plus d’une femme sur dix. La docteure Chrysoula Zacharopoulou, la chanteuse Imany et l’actrice et productrice Julie Gayet se sont unies pour la sortir du silence. « ELLE » est avec elles.

Quand les actrices font parler de l’endométriose

L'Américaine Lena Dunham, créatrice de la série Girls, a annoncé sur Facebook qu'elle suspendait temporairement ses activités en raison de son endométriose.

Endométriose, lupus systémique, polyarthrite rhumatoïde : quels liens ?

Il existe une association statistiquement significative entre l’existence d’une endométriose et le risque de développer un lupus érythémateux disséminé (LED) ou une polyarthrite rhumatoïde (PR). Telle est la conclusion de cette étude prospective américaine récente.

Une relation entre allergie et endométriose.

L’endométriose est caractérisée par la présence de tissu endométrial en dehors de la cavité utérine.

Presque deux fois plus de troubles anxio-dépressifs pour celles qui souffrent d’endométriose

Des travaux antérieurs ayant suggéré un lien possible entre l’endométriose et les troubles anxio-dépressifs, une étude longitudinale de cohortes (la première sur ce sujet) a été réalisée à Taïpei (Taïwan) pour éclaircir cette question.

Endométriose, « la maladie taboue ».

Le Parisien publie un entretien avec Marie-Anne Mormina, qui publie un « livre-témoignage coup de poing, « La Maladie taboue » (Fayard),

Perturbateurs endocriniens et fertilité féminine

Excellent article qui explique bien le processus de toxicité et la réalité de la transmission aux générations suivantes. La liste des toxiques est impressionnante. Nous connaissons l’action des perturbateurs endocriniens sur les systèmes adultes, et le rôle des toxiques sur la chute des spermatozoïdes. Il apparaît bien expliqué ici l’action non plus de blocage d’organismes constitués, mais de perturbation du développement in utero des potentiels de fécondité future. Cela va aussi modifier l’anatomie génitale et générer des pathologies comme l’endométriose chez la femme adulte.