Archive d’étiquettes pour : démence

Alzheimer, l’hypothèse Prion

Stanley Prusiner était - et est toujours - convaincu que la maladie d'Alzheimer est, elle aussi, une maladie à prion.

Drogue ou homéopathie, il faut choisir

Un consommateur régulier de benzodiazépines a un risque 50% plus élevé de présenter une démence de type Alzheimer - dans les quinze ans qui suivent - qu'une personne qui n'en consomme pas.

Les démences sont très liées à de nombreux médicaments d’usage courant

Les anticholinergiques sont des médicaments prescrits dans de nombreux cas : Parkinson, dépression, épilepsie, allergies, incontinence…

Les cas de démence vont tripler dans le monde d’ici 2050

L'âge constitue le principal facteur de risque du déclin cognitif, mais la démence "n'est pas une conséquence naturelle ou inévitable de la vieillesse", assure l'OMS.

La pré-éclampsie associée à un risque accru de démence vasculaire

La pré-éclampsie est associée à une augmentation du risque de démence et en particulier de démence vasculaire.

Mariage ou célibat qu’est ce qui est le meilleur pour la santé ?

Le célibat est en général pourvoyeur d’habitudes délétères pour la santé. Il existe bien évidemment de nombreuses exceptions à ce schéma quelque peu idyllique.

Les benzodiazépines rendent fou

La classe des benzodiazépines, c’est le grand classique de l’insomnie et de l’anxiété.

Un lien entre pollution et maladie d’Alzheimer ?

Dans une grande cohorte basée populationnelle, le fait de vivre à proximité d'un axe routier important était associé à une incidence plus élevée de démence.

Cancer de la prostate : une thérapie hormonale pourrait doubler le risque de démence

Une thérapie hormonale prescrite à des patients atteints d'un cancer de la prostate pourrait augmenter significativement le risque de développer une forme de démence.

Dépression : les formes durables et progressives associées au risque de démence

Si la dépression en général n’est pas associée à un risque accru de démence, les formes progressives sur plusieurs années pourraient en revanche être annonciatrices de la survenue d’une démence.

Benzodiazépines : « Oui, il y a de quoi s’inquiéter »

Le Pr Christophe Torzio qui vient de publier une vaste étude sur le risque de démence fortement accru par la prise de benzodiazépines espère une prise de conscience à la fois des autorités sanitaires, des médecins prescripteurs et des patients.

Certaines benzodiazépines augmenteraient les risques de démence

Les personnes âgées qui prennent des benzodiazépines à demi-vie longue voient leur risque de démence augmenter de 60 %. Ces médicaments sont souvent prescrits pour lutter contre les troubles du sommeil.

« L’humour défaillant, signe de démence ? »

Un Humour défaillant signe la démence. Tiens donc, alors essayons de rire de tout à défaut de pouvoir le faire avec tout le mode, et si vous avez du mal avec l’humour posez vous des questions.

Déclin cognitif : cela dépend du groupe sanguin ?

Très étonnante cette étude mais finalement pas tant que cela. Les groupes O seraient moins exposés et les AB le plus exposés. Les groupes O correspondent au début de l'humanité et les AB les plus évolués, il ne sont apparus que vers le 11°siècle de notre ère. En fait plus vous êtres proches de l'origine moins vous risquez le déclin, plus vous êtes évolués, plus vous êtes exposés.

Alzheimer : « Ces somnifères pointés du doigt

Le Parisien note à son tour que « l'utilisation à long terme de certains somnifères ou médicaments contre l'anxiété de la famille des benzodiazépines pourrait augmenter sensiblement le risque de développer une maladie d'Alzheimer ».