Végétariens et déprimés. Ou inversement.

Commentaire. Végétariens et déprimés.

 

L’ARTICLE :

Végétariens et déprimés. Ou inversement.

Le JIM reprend plusieurs éléments montrant un lien entre le végétarisme et le dépression.

Le végétarisme est associé à des risques plus faibles de maladie et de mortalité.

(maladies cardiovasculaires, obésité, diabète…)

Cependant il est aussi associé à un risque plus important de dépression.

Et se pose la question de la cause. Nous connaissons le risque de carence en vitamine B12 et en fer en l’absence de consommation de viande. Ainsi que pour certains un manque en oligoéléments.

Une étude sur 10 000 sujet de sexe masculin montre qu’ils ont tous facteur autres exclus un risque de dépression qui resté nettement plus élevé.

Ce risque serait sous tendu par des carences nutritionnelles. Mais on peut aussi le voir à l’inverse es ce que les hommes déprimés n’auraient pas tendance plutôt à se détourner de la viande et devenir végétariens.

De l’oeuf et de la poule lequel était le premier.

En tout cas le lien dépression végétarisme est une réalité.

 

 

Références.

Hibbeln JR et coll. : Vegetarian diets and depressive symptoms among men. J Affect Disord 2018 ; 225 : 13–17.

(1) http://www.bristol.ac.uk/alspac/about/

(2) http://www.perinatalservicesbc.ca/Documents/Resources/HealthPromotion/EPDS/EdinburghEPDSScale_French.pdf

https://www.jim.fr/medecin/actualites/medicale/e-docs/vegetarien_et_deprime_luf_ou_la_poule__169364/document_actu_med.phtml

 

Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 190