Vaccin contre le papillomavirus et cancers : le cri d’alarme d’un député
Commentaire. La médecine a obtenu de grandes avancées avec les antibiotiques sans réaliser qu’à trop les utiliser nous allions déclencher des catastrophes. Toute bonne chose peut se retourner.
C’est la même chose qui est en train de se passer avec les vaccins. Après des gloires, on veut les utiliser pour tout et sans faire, de plus, attention aux adjuvants.
Et sans étudier l’impact global sur l’équilibre microbien.
En Australie, un des pays les plus vacciné (80%) contre le papilloma virus, les cancers du col de l’utérus flambent dans leur forme grave chez les jeunes femmes vaccinées : + 114%.
Alors qu’en France où la couverture vaccinale est de 20% le cancer du col de l’utérus continue de diminuer.
Il se produit ce qui était à craindre, le vaccin est actif sur quelques souches virales et cela se déplace vers d’autres souches plus virulentes.
L’ARTICLE :
Vaccin contre le papillomavirus et cas de cancer : le cri d’alarme de l’ex-député toulousain Gérard Bapt
La Dépêche – Publié le 30/11/2018
Le cri d’alarme du député honoraire Gérard Bapt se transformera-t-il en alerte sur un nouveau scandal mondial ? L’ancien président de la mission d’information sur le Médiator, et ancien membre du conseil d’administration de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament), jette un nouveau pavé dans la marre.
Il vient d’adresser un courrier au directeur général de la santé, au président de l’INCa (Institut national du cancer) et au directeur général de Santé publique pour que soient prises en considération les données issues des registres du cancer de quatre pays ayant massivement vacciné contre le papillomavirus (HPV) depuis une dizaine d’années.
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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 232
