Un taux de fausses couches de 82% chez les femmes enceintes vaccinées
L’ARTICLE :
Une nouvelle étude publiée dans le New England Journal of Medicine trouve un taux de fausses couches de 82% chez les femmes enceintes vaccinées
Cette étude récente intitulée Preliminary Findings of mRNA Covid-19 Vaccine Safety in Pregnant Persons a révélé que 82 % des femmes enceintes qui ont reçu le vaccin COVID-19 au cours de leurs 20 premières semaines de grossesse ou dans les 30 premiers jours de grossesse ont perdu leurs bébés peu de temps après dans des fausses couches.
Malheureusement, la plupart des lecteurs de ce rapport ne trouveront jamais ces résultats car ils sont faussement enterrés dans les notes de bas de page du tableau 4 où il est révélé que les résultats étaient basés sur un total de 827 participantes qui ont déclaré une grossesse terminée, mais 700 d’entre elles l’ont fait sans recevoir les vaccins COVID avant d’être dans leur troisième trimestre.
Puisque le troisième trimestre commence à la 28e semaine de grossesse, cela n’a aucun sens d’inclure ces 700 participantes dans l’échantillon de femmes qui ont perdu leur enfant au cours des 20 premières semaines de grossesse. Pourtant, elles ont été incluses avec les 127 qui ont effectivement reçu le vaccin au cours de leurs 20 premières semaines de grossesse ou dans les 30 jours suivant leur grossesse. Étant donné que 104 participantes ont perdu leur bébé lors de fausses couches, le rapport tire une fausse conclusion, que seulement 12,6% ont faite une fausse couche (104/827), mais le nombre réel est de 81,8% basé sur 104 fausses couches sur 127 grossesses (104/127).
Ainsi, les auteurs de ce rapport ont caché les dangers pour étayer leur fausse conclusion : « Les résultats préliminaires n’ont pas montré de signaux de sécurité évidents chez les personnes enceintes qui ont reçu des vaccins à ARNm Covid-19 »
C’EST UN AUTRE EXCELLENT EXEMPLE DE LA FAÇON DONT ON NOUS MENT…
Résultats préliminaires de l’innocuité du vaccin à ARNm Covid-19 chez les personnes enceintes
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/nejmoa2104983
Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 337