Tranquillisants porte de la démence

Après l’article de Science et vie l’année dernière sur le lien benzodiazépine – tranquillisant  Alzheimer.

Cet article viens confirmer cette notion.

Tout cela est très logique. Si a chaque phase de tension et d’angoisse vous n’avez pas la possibilité voir la nécessité de la résoudre sur le fond et la cause réelle, mais que vous pouvez éviter cette phase grâce aux tranquillisant, ces problèmes restent en suspend, s’accumulent et vont logiquement réapparaitre plus tard dans par exemple des démences.

« Nouvelle alarme sur les benzodiazépines »
Libération  20 Décembre 2012.

Libération fait savoir que « la prescription de benzodiazépines […] doit être «la plus courte possible», a insisté hier l’ANSM ». Le journal indique que « cette recommandation survient à la suite de deux études, dont l’une de l’Inserm faisant état d’un risque accru de démence chez les plus de 65 ans ». Le quotidien indique ainsi que « selon les travaux de Bernard Bégaud (Inserm-université de Bordeaux) et Tobias Kurth, le risque augmente de 50% par rapport aux patients n’ayant jamais consommé de benzodiazépines ».

Libération retient que selon l’ANSM, « la prescription ne doit être envisagée qu’après l’échec des autres approches médicamenteuses et elle doit «être la plus courte possible», 4 semaines au maximum pour les hypnotiques et 12 pour les anxiolytiques ». Le journal rappelle que d’après une récente communication de la HAS, « la durée moyenne de prescription des somnifères est de 7 mois pour l’ensemble de la population, mais nettement plus importante chez les plus de 65 ans ». 

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