Archive d’étiquettes pour : dépression

Dépression : et si c’était une infection cérébrale ?

Dans la suite des microbes qui influencent nos désirs alimentaires, certains microbes généreraient ou seraient responsable de la dépression. Nous réalisons tous les jours que chaque maladie a son facteur microbien. C’était évident pour toutes les maladies infectieuses. Cela l’est maintenant aussi pour d’autres affections comme les ulcères de l’estomac, mais aussi les sciatiques, l’autisme, les infarctus, le parkinson et maintenant pour la dépression.

« La musique, une arme efficace contre la dépression des jeunes »

«La musique adoucit les moeurs» dit le proverbe. LA musique soigne la dépression. Est-ce une nouvelle ou l’énoncé de ce que nous savons depuis longtemps mais que la science Cartésienne a du mal à accepter. Dans tous les cas cette étude est une bonne nouvelle. A diffuser largement et à utiliser.

La maltraitance laisserait des traces cérébrales liées à une vulnérabilité future

A mettre en lien avec plusieurs articles que nous avons déjà publié sur ce thème. En tant que professionnels, nous voyons souvent des personnes en grande souffrance, dépression, vulnérabilité. Voilà des explications qu’il faudra bien un jour voir, comme nous l’avait montré Alice Miller.

Asperger, plus d’idées suicidaires

Le syndrome d’Asperger a fait couler beaucoup d’encre. Il y a les formes assez importantes proches d’autismes comme nous les connaissons habituellement et si bien représentés dans le Film «Rain Man». Il y a aussi les Asperger connus, géniaux, torturés, mortels, Steve Jobs, Steven Spielberg, Hitchcock, Einstein. Avec quand même souvent des histoires personnelles pas simples.

Quand la psychiatrie était une affaire de cœur

Les médecins et psychiatres Egyptiens avaient tout compris il y a entre 35 et 50 siècles. Soit en 3000 avant JC. C’est le coeur qui gouverne les pensées et le psychisme. Les troubles psychiques affectent notre espérance de vie par des somatisations plus importantes. Les dépressifs ont plus de pathologie cardiovasculaires. Les personnes aillant des troubles cardiovasculaires ont plus de chance de développer des troubles affectifs.

Editorial d’Olivier Soulier. Lettre Médecine du sens n°20.

Voila un ensemble d’articles que je commente et qui éclairent…

« Autisme : les antidépresseurs durant la grossesse de nouveau pointés du doigt »


Commentaire d'Olivier Soulier. Certaines maladies vont nous interroger sur notre mode de vie, notre environnement, la médecine, les pollutions et toutes les pratiques humaines. Elle apparaissent comme des épidémies, mais sont en fait provoquées par notre mode de vie. Et comment pourrai t-il en être autrement ? Aucune autre hypothèse n’est plausible. La génétique n’a pas changé complètement en 30 ans.

Religion et dépression, une relation corticale

Commentaire de Olivier Soulier. Voila un article qui nous donne des informations importantes. Les personnes à haut risque (le risque de dépression est majeur chez les enfants de sujets déprimés) ont un amincissement du cortex cérébral. La prière augmente l’épaisseur du cortex cérébral créant en quelque sorte une réserve, et protège le sujet contre la dépression. (à 90%) Ce qui compte en fait ce n’est pas la fréquentation des lieux de culte, mais que pour le sujet la religion ou la spiritualité soit importante.

L’os influence le cerveau

Commentaire de Olivier Soulier. Après le rôle du TNF maternel (article en lien : https://www.lessymboles.com/la-memoire-spatiale-programmee-via-le-lait-maternel/), (communiqué à l’enfant pendant l’allaitement) sur la mémoire spatiale par une action sur l’hippocampe, voici une autre hormone agissant sur l'hippocampe : l’Ostéocalcine. Le cerveau agit sur l’os et l’os agit sur le cerveau en aidant l’apprentissage spatial et la mémoire, il lutte contre l’anxiété et la dépression. Nous savions par l’acupuncture que l’os était lié à l’énergie du rein et la valeur de soi. Puis dans la symbolique des maladies l’os parle de valorisation ou de dévalorisation (ostéoporose). En Hébreux aussi «mon os» est le même mot que pour «mon être». Confirmation biologique d’une loi connue en symbolique des maladies. Os = valeur.

Moindre efficience cognitive chez l’enfant d’une mère déprimée ou mal nourrie

Bien que le contrecoup d’une dépression maternelle sur l’enfant (avant, pendant ou après la grossesse) soit bien établi, on a peu d’informations sur le retentissement préjudiciable de cette dépression et d’une mauvaise alimentation de la mère durant la grossesse sur les fonctions cognitives de l’enfant. Mettant à profit les données de l’enquête longitudinale ALSPAC[1], une étude britannique évalue l’incidence des troubles dépressifs maternels sur le développement cognitif de l’enfant. La symptomatologie dépressive de la mère a été évaluée « à cinq reprises entre la 18ème semaine de grossesse et au 33ème mois après l’accouchement. »

Des médecins s’alarment de la hausse des tentatives de suicide chez les jeunes filles.

Pascale Krémer note dans Le Monde que « la revue de formation médicale Le Concours médical […] dévoile les premiers résultats d'une enquête épidémiologique menée conjointement par la faculté de médecine et l'Institut universitaire de santé public de Poitiers et l'Observatoire régional de la santé d'Alsace ». La journaliste explique que l’enquête a été menée en juin 2012 auprès de « 1.817 jeunes de 15 ans tirés au sort, dans 171 établissements scolaires des régions Poitou-Charentes et Alsace, [qui] ont répondu à un long questionnaire de 88 questions sur la santé ». Pascale Krémer évoque des « résultats inquiétants », soulignant qu’« à 15 ans, près de 21% des filles et près de 9% des garçons ont déjà tenté de se suicider ».

On sait pourquoi les chiens protègent contre l’asthme

Les jeunes enfants possédant un chien ont moins de risque de développer des allergies. Des travaux chez la souris montrent que la présence de cet animal modifie la flore intestinale et protège contre ces pathologies. Voilà une bonne raison d’offrir à vos petits un nouveau compagnon pour les fête de Noël…

MALTRAITANCE infantile, dépression à l’âge adulte

Un enfant sur dix est exposé à la maltraitance, psychologique, physique, sexuelle ou à la négligence. La maltraitance à l’enfance multiplie par 2 le risque de développer des épisodes dépressifs à la fois multiples et durables.

La MALTRAITANCE abime le cerveau de l’enfant et déprime l’adolescent

Neuropsychopharmacology La maltraitance infantile modifie la substance blanche du cerveau entraînant une susceptibilité particulière, plus tard dans la vie à certains troubles mentaux, comme la dépression ou l'usage de drogues.