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Troubles de mémoire dans la SEP : la piste du glutamate

Le Glutamate est un des neuro transmetteurs essentiels de notre cerveau, il a un rôle plutôt neuro excitateur, c’est le transmetteur de base du message de mise en vie et d’activation. Dans notre alimentation le glutamate est un exhausteur de gout très présent dans de très nombreux aliments, en particulier dans les restaurant chinois, dès qu’il y a une sauce, surtout gluante, mais pas seulement. Vous en retrouvez dans le Schweppes, les chips etc, des milliers d’aliments. Vous le reconnaitrez c’est le E 620 à E 629.

Le cerveau adapte la vue en fonction du cœur

Nos organes modifient l’activité et la perception par le cerveau. Et ici concrètement, quand notre coeur bat plus fort, nous voyons différemment les images et les images influencent notre perception dans le cerveau. Nous pouvons imaginer ce qui se passe : quand vous voyez votre aimé(e) le coeur bat et plus il bat plus le voyez, plus le coeur bat et plus vous l'aimez !

Portable à haute dose : le danger se confirme

Après de très nombreuses dénégations, tant des autorités médicales que des opérateurs, l’évidence commence à apparaître. Elle n’est reconnue que pour les gros consommateurs. Et cela commence à 1/2h par jour, ce qui veut dire en fait que cela concerne beaucoup de monde. Ajoutons que plus le cerveau est jeune et encore immature,plus il est sensible. Tout cela n’est que la part visible de l’iceberg. Le début de la prise de conscience d’une électrosensibilité croissante. La surcharge qui sensibilise peu à peu des pans entiers de la population.

Editorial de la Lettre de la Médecine du sens n°22

Je voudrais partager dans cette lettre un problème croissant pour notre civilisation : l’intoxication, et par là les conséquences de notre civilisation moderne chimique et technique. Cela fait peser un risque sur la survie même de notre espèce, sans catastrophisme particulier, vous réaliserez surement dans quelques années que ce que je vous dit ici est largement en dessous de la réalité. Le 20° siècle a débuté par de grands progrès scientifiques qui ont relégué au rang de l’histoire beaucoup de pratiques traditionnelles. Acupuncture et homéopathie ont été marginalisées. La médecine triomphante avec les vaccins et les antibiotiques allait tout résoudre.

Editorial d'Olivier Soulier. Lettre Médecine du sens n°20.

Voila un ensemble d’articles que je commente et qui éclairent…

« La prière, une arme contre Alzheimer »

C’est ce que titre Le Figaro, qui explique que « selon une étude menée conjointement en Israël et aux États-Unis avec un financement de l’Institut national de la santé américain, la prière constitue un antidote très efficace qui permettrait de réduire de moitié chez les femmes les risques de contracter la maladie d’Alzheimer ou d’être victimes de pertes de mémoire et de démence «légères» ».

Religion et dépression, une relation corticale

Commentaire de Olivier Soulier. Voila un article qui nous donne des informations importantes. Les personnes à haut risque (le risque de dépression est majeur chez les enfants de sujets déprimés) ont un amincissement du cortex cérébral. La prière augmente l’épaisseur du cortex cérébral créant en quelque sorte une réserve, et protège le sujet contre la dépression. (à 90%) Ce qui compte en fait ce n’est pas la fréquentation des lieux de culte, mais que pour le sujet la religion ou la spiritualité soit importante.

Le café stimule la mémoire visuelle selon une étude.

Le Parisien note que « le café stimulerait la mémoire visuelle, selon une nouvelle étude américaine sur les vertus de la boisson, publiée dans Nature ». Le journal indique ainsi qu’« une équipe de l'Université Johns Hopkins de Baltimore a constaté que la caféine améliore certains souvenirs sur une durée d'au moins un jour alors que les preuves d'un effet dopant du café sur la mémoire étaient jusqu'à présent limitées ».

La MALTRAITANCE abime le cerveau de l’enfant et déprime l’adolescent

Neuropsychopharmacology La maltraitance infantile modifie la substance blanche du cerveau entraînant une susceptibilité particulière, plus tard dans la vie à certains troubles mentaux, comme la dépression ou l'usage de drogues.