Si les bébés tombent souvent malade, c’est pour leur bien!
Commentaire de Olivier Soulier.
Publié dans la lettre de Médecine du sens n° 6
L’équipe de l’hôpital des enfants ce Cincinnati fait une découverte très intéressante.
Mais tout est compris ou utilisé à l’envers.
Elle explique comment l’immunité se met en sourdine en permettant la mise en place de la flore intestinale qui a une action si positive sur nous.
Ils voient aussi comment en inhibant ce processus il y a moins d’infections et plus d’inflammation intestinale.
Il y a là un parfait modèle de l’installation des inflammations chroniques de l’intestin, des maladies auto immunes, en gros de tout ce dont souffrent en général les personnes malades et difficiles à guérir.
La conclusion est donc simple, ce mécanisme est fondamental, il faut le respecter, et dans tous les cas tenter de le favoriser.
Mais d’une façon incroyable et finalement extrêmement dangereuse, la conclusion de l’article serait d’en profiter pour vacciner plus tôt.
C’est à dire créer très tôt une modification artificielle de l’immunité.
La question est alors : comment peut on avoir aussi peu de foi dans le fonctionnement de l’être humain?.
Et prendre un tel risque de le perturber, plutôt que de l’accompagner?.
Au delà de toute polémique la question se pose dans un problème de foi dans la vie ou de croyance dans la surpuissance humaine.
Nous sommes en pleine épistémologie du sens. En pleine philosophie de la vie.
Accessoirement il y a dans cet article deux autres choses qui apparemment n’ont pas attiré l’attention des chercheurs de Cincinnati..
Cette action n’est pas liée aux globules blanc ou leucocytes comme c’est habituellement le cas dans les processus immunitaires.
La seconde est que ces cellules sont présentes chez les humains au sang du cordon ombilical.
Le cordon ombilical parle de la relation à l’origine et à la mère, de cellules peu différenciées.
Mais aussi d’un cadeau protecteur fait à l’enfant par la génération précédente, comme si cette information essentielle était communiquée dans le passage des générations.
Mais il faut aussi comprendre la signification des globules rouges. Ils sont issus au départ de la poche vitelline, donc de notre part animale.
Ils sont aussi symbole de notre expérience de l’amour qui nous permet d’établir notre loi intérieure, caractérisée par la vésicule biliaire, dont l’agent de production est la bile (la molécule clé est la bilirubine).
L’hémoglobine des GR est recyclée ensuite à la fin de sa vie en bilirubine. (Voir l’article la double vie de l’hémoglobine).
Ce processus lié à l’action des GR est relié à un mécanisme beaucoup plus profond de l’être humain.
Si on veut comprendre ce processus, il faut se souvenir de ce qu’est un globule rouge.
Dans une vision symbolique qui pourra choquer certains, mais à qui je demande simplement d’essayer juste d’imaginer le sens profond de tout cela.
Le globule rouge est une cellule qui sert à distribuer l’oxygène, qui est comme le disait Stanislas Groof, un équivalent d’amour.
Plus encore, c’est la seule cellule sans noyau, cela veut dire avec disparition de l’ADN.
Osons aller jusqu’au bout, l’ADN c’est le mystère de la vie, le code de la vie, la chose que nous ne pouvons connaître dans son origine.
Personne ne peut dire comment il s’est créé.
Annick De Souzenelle nous donne la clé dans son jeu de mots. ADN Adonaï, mon Seigneur. C’est à dire Dieu.
Ou le mystère de la création.
Tout cela veut dire que l’origine du globule rouge de ce processus parle d’un cadeau fait par Dieu aux humains pour pouvoir vivre et que cela se fait au moment de l’incarnation, de la grossesse, par le cordon ombilical, et par des cellules ou Dieu s’est retiré tout en donnant à l’être humain la clé fondamentale qu’est l’amour.
Comme cette phrase qui dit « Dieu a créer l’homme comme la mer a créé les continents, en se retirant ».
Ce processus découvert par ces chercheurs est donc une clé essentielle dans la compréhension du puzzle de la vie.
Pour les athées, essayez simplement de remplacer Dieu par code de vie, code de fonctionnement de la vie présent dans l’ADN , c’est la même chose.
Si je veux aller encore un peu plus loin je dirais que quand vous essayez d’intervenir comme ils le proposent, vous vous mettez à la place de Dieu, ce qui est grave et franchement diabolique. Cela me fait penser au patron de Goldman Sachs qui décrit son métier comme le travail de Dieu. Et on voit le résultat sur la destruction de la planète et sur la folie financière.
A méditer.