Sacrifier des enfants pour rien, ça se payera un jour…
Commentaire. Enfant vacciné, qui en a envie ? Essayons de comprendre que c’est ce qui nous attend. Avis à tous les parents.
L’ARTICLE :
Sacrifier des enfants pour rien, ça se payera un jour…
par La rédaction de l’AIMSIB | 23 Mai 2021
L’enfer est-il pavé de bonnes intentions? Il semblerait vraiment que oui, tant cette histoire de vaccination anti-Covid des enfants semble relever du plus pur cauchemar industriel, repris sans l’ombre d’une hésitation par toute cette fraction de « scientocrates » qu’aucune roulette russe -jouée sur la tempe des autres- n’effraie. Déjà des milliers de décès post-vaccinaux d’adultes, et chercher à vacciner les enfants qui n’ont aucun bénéfice à tirer de cette mesure, sérieusement? Toute l’AIMSIB se range derrière l’indignation portée par l’article du Dr Eric Ménat, membre AIMSIB et du Conseil Scientifique Indépendant. Que la société civile et les médecins réfléchissent et se soulèvent avant que l’irréparable absolu ne soit commis, bonne lecture.
Introduction
En préambule, je tiens à rappeler que je n’ai aucun conflit d’intérêts et que je ne suis absolument pas « anti-vaccins ».
Bien au contraire, le jour où on disposera d’un vaccin qui aura prouvé son innocuité et son efficacité pour empêcher les gens fragiles d’être malades et enrayer l’épidémie, je serai le premier à en faire la promotion.
En attendant, je voudrais vous partager mes réflexions sur les projets de vaccination des enfants contre la Covid-19, car à mon avis, on est entré dans une spirale infernale qui pourrait très mal se terminer pour les plus jeunes.
Vaccination, rappels
Je veux rappeler les principes de la vaccination, tels qu’ils étaient posés depuis des années :
- Un vaccin, comme tout traitement, doit avoir plus de bénéfices que de risques.
- Il doit protéger le sujet d’une maladie potentiellement grave et qui n’admettrait aucun traitement curatif. On n’imagine pas vacciner contre les rhumes par exemple (sauf à vouloir faire du business).
- Il doit également permettre de réduire la propagation de l’épidémie. C’est ce qu’on appelle la vaccination altruiste : on vaccine tout le monde pour protéger les plus faibles.
- Ce qui nous ramène au premier point : le vaccin doit être bien toléré, car on va l’injecter à « tout le monde », même à ceux qui ont moins de risques d’être malades ou de faire une forme grave.
Le vaccin doit donc absolument avoir une balance bénéfice-risque favorable pour CHAQUE personne.
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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 334