Quand la dépression précède l’infarctus
Commentaire. Voici une information très importante pour comprendre cette maladie qui apparait parfois comme survenant par surprise, ou simplement en lien avec des facteurs purement métaboliques, cholestérol etc.
Cet article nous amène vers une profonde compréhension du processus qui conduit à cette maladie.
Dans la symbolique des maladies, l’infarctus correspond à un principe de perte de territoire, comme par exemple un chef d’entreprise de 50 ans qui se voit contesté dans son rôle et sa place par des plus jeunes, un classique des films. « Le mâle qui perd son territoire ».
Cette situation est, nous le savons, souvent liée à une forme de dépression qui est la manifestation psychique de cette difficulté de vie. La dépression touche plus particulièrement les hommes à tempérament plutôt féminin, voir les femmes dans cette même situation.
Cette étude vient nous donner les éléments de confirmation de la cause et de la dynamique de la maladie. La médecine quand elle découvre ces éléments ne sait pas vraiment quoi en faire. Ici le rédacteur de l’article conclut quand même sur le caractère global de la médecine, un premier pas. Le suivant serait de poser que dans toutes les maladies la médecine est globale et de comprendre le lien et la filiation entre les maladies et les somatisations. La base de la médecine en fait.
Nous verrions aussi alors que le cholestérol nous parle d’une difficulté à manifester nos capacités, que son élévation peut être un effort « désespéré et inefficace » pour y arriver.
Taper sur l’inefficacité, ne l’a jamais rendu plus efficace.
L’ARTICLE :
JIM – Dr Alain Cohen –
Quand la dépression précède l’infarctus…
Malgré des « avancées remarquables » dans sa prévention et pour son pronostic, l’infarctus du myocarde demeure un important problème de santé pour les sujets concernés, ainsi qu’un « fardeau écrasant » pour les systèmes de santé des pays occidentaux, rappellent les auteurs d’une étude réalisée à l’hôpital universitaire d’Aarhus (au Danemark) et consacrée à l’impact d’une dépression antérieure sur le risque de mortalité consécutive à un infarctus du myocarde.
Lire la suite de l’article (pour les abonnés au JIM) : http://www.jim.fr/medecin/actualites/medicale/e-docs/quand_la_depression_precede_linfarctus_166091/document_actu_med.phtml
Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 170