Pourquoi le professeur Luc Montagnier a participé au tournage du film Vaxxed

Commentaire. La position de Luc Montagnier encore à la pointe de la compréhension. Bravo Professeur, vous pourriez vous reposer sur vos lauriers, mais vous continuez à être un des esprits les plus clairvoyants de notre nouveau siècle.

 

L’ARTICLE :

Pourquoi le professeur Luc Montagnier a participé au tournage du film Vaxxed

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Message transmis par le professeur Luc Montagnier, en réaction à la censure et au lynchage médiatique organisé contre le documentaire Vaxxed:

 

« Respecter la vérité scientifique est la base de la crédibilité des institutions responsables de la santé publique. Si elles manquent à ce respect elles s’exposent gravement à une perte de confiance de la part du public. Les CDC d’Atlanta semblent avoir falsifié les résultats d’une de leurs propres études qui montrait une corrélation entre l’apparition de l’autisme et une vaccination R0R (en anglais MMR) chez de jeunes enfants afro-americains ‎. Cette falsification, révélée par un de ses auteurs, permettait de conclure à l’absence de corrélation, ce qui a contribué  à continuer les vaccinations sans en changer les conditions. Outre les dommages aux jeunes victimes, cette affaire amplifie la peur des vaccinations dans le public, ruinant ainsi les politiques de prévention des maladies. C’est ce que décrit le film d’Andrew Wakefield, médecin chercheur et lanceur d’alerte avec courage et lucidité » . Luc Montagnier 

 

Vaxxed, »Vaccinés: du camouflage à la catastrophe »,  le plus gros scandale de l’histoire de la médecine et la honte du journalisme

Pour la première fois dans l’histoire du cinéma et du journalisme, au pays des ‘libertés démocratiques’, un documentaire a été massivement censuré sans même avoir été vu par la critique.

Vaxxed avait été programmé au festival de Tribeca, à la demande d’un de ses fondateurs les plus illustres, Robert de Niro.

Sa célébrité ne lui a pourtant pas suffi et quelques heures avant le festival l’acteur a finalement reculé devant l’intensité des pressions exercées à son égard.  En tant que père d’un enfant autiste, Robert de Niro tenait beaucoup à la présentation de ce film, afin que la lumière puisse être faite et que l’on puisse relancer le débat sur la question des vaccins.

Le film est avant tout la confession et la preuve, de la manière dont les données des études établissant le lien entre le déclenchement de l’autisme et les conséquences post-vaccinales du vaccin MMR ont été purement falsifiées et escamotées, afin de protéger les intérêts du CDC et de ‘big pharma’.  Cette confession est celle du Dr. William Thompson, expert dans le rapport qui devait trancher définitivement la question  de la relation entre le vaccin ROR et l’autisme’.  Oui, c’est bien LE rapport que l’on a tant et tant utilisé pour tenter de dire que le débat était ‘définitivement clos’ et conspuer d’anti-vaccinaliste’, et mystificateur chaque individu s’autorisant à penser et à s’exprimer librement.

Dénoncé en 2014, le scandale avait été passé sous silence, tant par la classe politique que par ses valets médiatiques. Mais c’est sans compter la voix de milliers de parents, médecins et scientifiques, dont la colère ne fait qu’augmenter et qui exigent honnêté et transparence dans le domaine de la santé publique à l’échelle mondiale.

Tant d’efforts de censure et de dénigrement ont finalement soulevé la curiosité du grand public, si bien que le premier avril  le film est finalement  sorti dans une salle new yorkaise où le public s’est bousculé.  Dans la foulée, deux autres festivals ont emboîté le pas.

Impassible, le CDC feint d’ignorer l’affaire alors que les éléments attestant de corruption, conflits d’intérêt et manipulation de données se succèdent. Cette semaine encore un nouveau scandale: la publication du dernier rapport sur les chiffres de l’incidence d’autisme est contestée en justice devant plusieurs états par une ancienne chercheuse du CDC, le docteur Zimmerman, licenciée après avoir dénoncé avec ses collègues des erreurs de comptage, reportées et jamais prises en compte et des échantillons et sélection de données ‘sculptées sur mesure’.

Dans cette affaire, on ne saurait dire qui remporte aujourd’hui la palme de la médiocrité: la classe politique, scientifique ou les médias.  Ces derniers n’abordent la question de manière fort peu éthique: soit évitant le sujet, soit en le focalisant à outrance dans un débat qui ne semble compter que des extrémistes ‘pro’ et ‘anti’ vaccins.

En réalité, les opinions de la grande majorité du public et du corps médical semblent bien plus modérées.  Loin de ces deux extrêmes, la plupart souhaite un débat ouvert, honnête et nuancé sur la question.

Alors qu’ici, en France et Belgique, c’est partout la journée de l’autisme… et que les ténors se bousculent pour se peindre en bleu, dénoncer la gravité de la situation et l’insuffisance de sa prise en charge, a-t-on dit un seul mot de ce film?  A-t-on évoqué une seule fois ce débat?

A-t-on même  parlé des pistes et études concrètes pour améliorer la santé et la vie des personnes autistes?

Pour percer le voile de l’autisme, il faudra d’abord faire tomber le voile des mensonges et de l’indifférence

Rendez-vous pour la suite…

S. D.

http://www.vaxxedthemovie.com

http://vaccineimpact.com/2016/another-cdc-whistleblower-adds-fuel-to-vaxxed-films-fight-against-censorship/

 

 

 

 

Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 112