Placenta et schizophrénie

Commentaire. Nous avions déjà des éléments.

HERVW 40 et syncytine plus élevés dans les schizophrénies.

Les empreintes digitales qui montrent la coopération de l’enfant avec la mère pendant la grossesse en cas de souffrance maternelle et donc foetale.

Une part de l’enfant, ici, vient trop de la mère et le structure.

Chez cet autre enfant, des dissociations schizophréniques et la mémoire de l’utérus qui, au lieu de lui permettre de se développer tranquillement, l’a envahi et obligé à coopérer pour survivre.

Le placenta sera probablement le placenta. Il  a des gènes de survie qui doivent s’activer

« Pactiser avec la souffrance maternelle pour survivre ». Le futur adulte aura alors une part de lui qui vit d’une manière et une autre qui semble obéir à des voix extérieures, mémoire de la création du trouble, quand l’extérieur, qui est aussi soi et aussi un autre, s’appelait le placenta.

 

 

L’ARTICLE :

Le rôle inattendu du placenta dans le développement de la schizophrénie

Sciences et Avenir – Par Camilla de Fazio le 31.05.2018 à 06h00

Une étude américaine suggère que de graves complications pendant la grossesse peuvent induire dans le placenta l’expression de gènes qui favorisent le développement de la schizophrénie chez l’enfant à naître.

Des graves complications pendant la grossesse peuvent induire dans le placenta l’expression de gènes qui favorisent le développement de la schizophrénie, révèle une étude publiée dans la revue Nature medicine.

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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 210