OUBLIE MOI
Commentaire. « Oublie-moi » de Coeur de Pirate ou l’amour toxique. Version POP du Border Line de la psychopathologie.
Ou fuir l’amour que l’on désire tant de peur de vivre. L’incapacité à être en relation.
Préférer la mort sans émotion à la vie qui vous bouscule et vous met en vrai danger de vivre.
Cacher sa peur de vivre sous l’étendard de la liberté qui n’est qu’une peur du vrai.
Coeur de Pirate parle d’amour toxique, émotion qu’elle a beaucoup connu, mais cette fois-ci elle dit «j’ai décide de ne plus faire la victime et de ne pas blâmer une autre personne pour mon malheur».
Avec cette fameuse phrase : « Oublie moi. Laisse la nuit trembler en moi. Dépasse les flots, Efface mes pas. »
PAROLES :
On défie l’ennui du monde à nos grès
Le soleil s’éteint sur nos destins
On court à l’échec, à perte au pire
J’ai cru que tu m’aimerais pour un temps
Mais laisse-moi tomber, laisse-nous tomber
Laisse la nuit trembler en moi
Laisse-moi tomber, laisse nous tomber
Cette fois
Mais oublie moi
Parcours ces flots, efface mes pas
Car c’est le temps, car c’est le temps
qui nous guidera
J’ai vu tes peurs
se cacher près de notre passé
Mais laisse moi seul, laisse-moi loin de tes côtés
De tes côtés
De nuit et on vit
Sur cette lune on danse
C’est à ces moments qu’on sent nos vies
La verve qu’on avait restant les fonds
Le fleuve qu’on atteindra plus jamais
Et laisse-moi tomber, laisse nous tomber
Laisse la nuit trembler en moi
Et laisse-moi tomber, laisse nous tomber
Chaque fois
Mais oublie moi
Parcours ces flots, efface mes pas
Car c’est le temps c’est le temps
qui nous guidera
J’ai vu tes peurs
se cacher près de notre passé
Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés
De tes côtés
Laisse la nuit trembler en moi
Laisse la nuit trembler en moi
laisse-nous tomber pour cette fois
Mais oublie moi
Parcours ces flots, efface mes pas
Car c’est le temps c’est le temps
qui nous guidera
J’ai vu tes peurs
se cacher près de notre passé
Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés
De tes côtés
Paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 91