Mécanisme moléculaire commun entre la schizophrénie et le trouble bipolaire 

Commentaire. De nouvelles visions de la schizophrénie. Beaucoup d’idées ont été avancées ces dernières années sur la schizophrénie. Bien sûr, puisque c’est à la mode on a parlé des causes génétiques. Pour finalement réaliser qu’elles ne sont pas si importantes que cela (gène de la fraction C4 du complément par exemple). Pour se demander ensuite pourquoi certains ont ce gène et ne déclenchent pas la schizophrénie. La génétique n’est donc, comme d’habitude, qu’une prédisposition.

Puis apparait la Toxoplasmose piste beaucoup plus sérieuse. Ce serait donc une maladie infectieuse, idée de plus en plus évoquée dans les troubles psychiques. Nous pensons que c’est plutôt un des marqueurs, que la fragilité personnelle va favoriser les développements de la toxoplasmose qui va elle-même activer la schizophrénie.

Reste encore sur le fond le vécu psychique. La difficulté à discerner ses émotions de celles des autres. Notion très liée à une fusion dont l’individu n’arrive pas à sortir.

Cela nous revoie au virus HERV W40 qui permet la fusion de l’oeuf avec la paroi de l’utérus et qui est très répandu dans les schizophrénies.

Les pistes se précisent.

 

L’ARTICLE :

Schizophrénie et trouble bipolaire : un mécanisme moléculaire commun.

Psychomédia – Publié le 18 octobre 2017

Une variation génétique associée à plusieurs troubles psychiatriques augmente le risque de développer la schizophrénie ou un trouble bipolaire, selon une étude française publiée dans le Journal of Neuroscience.

Les chercheurs ont étudié une variation du gène SNAP25, impliquée dans la neurotransmission et associée à la schizophrénie, au trouble bipolaire et au déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).

Lire la suite de l’article : http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2017-10-18/schizophrenie-trouble-bipolaire-aspects-communs

 

Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 182