Les microbes comme régulateurs des conquêtes spatiales

Commentaire. Et si les microbes limitaient les avancées technologiques ?

Nous défendons depuis longtemps le rôle régulateur de microbes sur la vie et les humains. 

Quand on joue avec les produits sanguins sans aucune attention, on fait naitre le SIDA. Quand on fait vivre les animaux dans des conditions concentrationnaires, on fait naitre la grippe aviaire. Quand on donne les placentas, partie de nos enfants, à manger aux vaches et qu’on les rend cannibales d’humains, on les rend folles.

Revoilà Les microbes comme régulateurs des conquêtes spatiales.

La présence de virus ou de bactéries pourrait bien limiter la conquête spatiale.

L’herpès d’abord se développe particulièrement à plus de 60% chez les habitants de vaisseaux spatiaux, station spatiale. Nous savons qu’il parle de crainte de séparation, n’est-ce pas ce sentiment qui peut habiter les voyageurs, une crainte de ne pas pouvoir rentrer, qui au final pourrait les rendre gravement malades ?

Acinetobacter une bactérie qui persiste dans les vaisseaux et qui se nourrit même des produits de nettoyage. On pourrait assez bien imaginer une expédition spatiale vers Mars où tout le monde mourrait d’infection après avoir épuisé son stock d’antibiotiques. A moins que nous n’ayons créé une bactérie totalement résistante aux antibiotiques.

 

L’ARTICLE :

« Ces «virus latents» qui pourraient perturber la conquête spatiale »

Mediscoop

Le Point annonce que « les [futurs] astronautes qui partiront en mission pourraient bien faire face à de nouveaux dangers, les virus. En effet, la présence dans l’espace réactive des maladies présentes dans l’organisme ».

Le magazine explique que selon une étude de la Nasa, « c’est l’herpès qui se retrouve sur le banc des accusés. Une maladie infectieuse et contagieuse qui se transmet à travers des lésions sur la peau ou les muqueuses. Deux espèces existent : le HSV1, qui correspond à l’herpès labial, et le HSV2, qui correspond à l’herpès génital. Quand une personne est touchée, le virus reste ensuite dans ses ganglions et peut donc «se réveiller» ».

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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 245