Les anti oxydants aident à soigner les dépressions
Commentaire. La N-acétylcystéine, précurseur du glutathion, grand anti oxydant a une action sur les plus grands troubles psychiatriques : schizophrénie, dépression, bipolarité.
Cela nous montre le lien, comme nous le défendons entre physique et psychisme. Avec des corrélations très précises sur des chaines métaboliques précises.
L’ARTICLE :
Et pourquoi pas la N-acétylcystéine en psychiatrie ?
JIM
Même si les causes précises des « trois principales affections psychiatriques » (le trouble dépressif majeur, la maladie bipolaire et la schizophrénie) demeurent encore énigmatiques, on estime que le stress oxydatif représente vraisemblablement l’une de leurs composantes étiologiques. À ce titre, il est donc logique de s’intéresser à l’éventuelle action thérapeutique de molécules reconnues pour leur activité anti-oxydante qui pourrait représenter une voie de recherche prometteuse pour de nouveaux médicaments. Certains antidépresseurs et certains neuroleptiques ont d’ailleurs, rappellent les auteurs, des « propriétés anti-oxydantes intrinsèques. » Et le glutathion[1] est un exemple d’« anti-oxydant endogène », présent physiologiquement dans le cerveau.
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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 238