Les anti dépresseurs diminuent les risques de Covid grave en agissant sur l’orage cytokinique

Commentaire. « Oh rage, oh désespoir oh vieillesse ennemie, que n’ai je tant vécu que pour cette infamie ?».

Si les comorbidités diabète, obésités, HTA, Carviovasc n’étaient que des somatisations de souffrance et de désespoir que vient confronter en fin de vie le Covid.

 

L’ARTICLE :

Covid-19 : moindre gravité pour celles et ceux qui prennent des antidépresseurs ?

JIM – Dr Roseline Péluchon

De précédents travaux ont montré que les antidépresseurs étaient associés à une réduction des taux plasmatiques de plusieurs médiateurs pro-inflammatoires impliqués dans les formes sévères de Covid-19.

C’est le cas des taux d’IL-10, de TNF-α et de CCL-2, facteurs associés à la sévérité de la maladie, ainsi que de l’IL-6, étroitement corrélée quant à elle à la mortalité.

L’hypothèse a donc été émise que les antidépresseurs pourraient être utiles pour réduire le risque de décès chez les patients atteints de Covid-19. Pour le vérifier, une équipe française a mené une étude rétrospective sur une cohorte de 7 230 patients adultes, hospitalisés dans les hôpitaux de l’AP-HP pour une Covid-19.

Parmi eux, 345 (4,8 %) ont reçu un antidépresseur dans les 48 heures suivant leur admission. Il s’agissait d’un inhibiteur sélectif de recapture de la sérotonine (IRS) pour 195 d’entre eux, ou d’une autre classe d’antidépresseur pour les autres.

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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 327