L’épidémie de coronavirus sert-elle l’agenda global ?

Commentaire. Pour ceux qui suivent l’actualité des vaccins, c’est l’idée d’établir pour la Terre entière des vaccinations obligatoires et à terme d’empêcher tout déplacement, voir toute activité pour tous ceux qui n’auraient pas sur eux leur puce électronique carnet de vaccination.

Nous ne prenons pas partie, chacun se fera son idée. C’est ça l’information.

Un article de Senta Depuydt

 

L’ARTICLE :

Le  Coronavirus  sert-il  un  agenda  global? 

Senta Depuydt

Pour  ceux  qui  suivent    l’agenda  global  de  la  vaccination  et  sa  mise  en  oeuvre  sur  différents  continents, on ne  peut  pas  dire  que  l’annonce  d’une  nouvelle  pandémie  ait  été  une  grande  surprise.  On  la  préparait  depuis  longtemps  avec  des  accords  et  des  investissement  de  milliards  de  dollars,  lors des  derniers  G7,  forum  de  Davos  et  autres  grands  meetings  de  la  globalisation.  Dernier  en  date  l’Event 2011,  une  répétition  de  scénario  pandémique  organisée  le  18  octobre  2019  à  New  York  par  la  fondation Gates  et  the  World  Economic  Forum.  Avec  le  début  de  la  campagne  électorale  aux  Etats-Unis,  et  le  passage  difficile  des  obligations  en Allemagne,  une  nouvelle  terreur  virale  était  incontournable  . Qu’y-a-il  de  plus  opportun  pour  influencer  l’opinion  publique  et  les  politiques,  lorsqu’un  tsunami  de nouvelles  obligations  vaccinales  se  prépare  des  deux  côtés  de  l’atlantique? Rappelons  qu’il  y  a  quatre  ans,  beaucoup  de  familles  avaient  voté  en  faveur  de  Trump  parce  qu’il  avait promis  une  commission  d’enquête  sur  l’autisme  et  la  vaccination,    son  plus  jeune  fils  étant  également concerné. De son  côté  Clinton  n’avait  cessé  de  répéter  que  «  la  terre  est  ronde,  le  ciel  est  bleu  et  les  vaccins  sont sûrs  et  efficaces  »,  tout  au  long  de  la  campagne.  Cette  fois,  la  question  des  vaccins  pourrait  peser encore  plus  lourd  dans  les  enjeux  électoraux.  En  Californie,  après  la  suppression  des  objections religieuses,  l’on  a  également  fortement  limité  les  exemptions  médicales2. L’état  a  pris  le  contrôle  de  la  relation  patient-médecin,  jusqu’à  interdire  plus  de  5  certificats  de  contreindications  par  an,  par  vaccin  et  par  médecin,  initiant  ainsi  une  véritable  politique  d’inquisition médicale. L’Eldorado  de  Silicon  Valley  est  devenu  une  «  cage  dorée »  que  près  de  la  moitié  des  californiens déclarent  vouloir  quitter  pour  des  cieux  plus  libres,  au Texas  ou dans  l’Idaho3  par  exemple. En réalité,  c’est  une  bataille  générale  qui  se  joue  en  ce  moment  aux  Etats-Unis.   Après  la  Californie  et  le New Jersey,  c’est  dans  le  Maine,  au Connecticut,  en  Virginie4,  à  Hawaï  et  dans  bien  d’autres  états  que  la loi   se  durcit.    Mais  les  défenseurs  de  la  liberté  vaccinale  s’organisent,  manifestent  devant  les parlements,  bombardent  leurs  élus  de  mails  et  de  coups  de  téléphone,  dénonçant  les  diverses collusions  entre  les  services  de  santé,  les  politiques  et  l’industrie  vaccinale.  Fait  nouveau,  des  projets  de  loi  du  camp  adverse  voient  également  le  jour.    Par  exemple,  le  refus  au Maryland  d’autoriser  la  vaccination  par  les  pharmaciens,  ou  au  Dakota  du  Sud5,    un  projet  visant simplement  l’interdiction  de  toutes  les  obligations  vaccinales.   En Europe  aussi,  l’on  assiste  à  une  vague  similaire  de  législations  coercitives.  En  Allemagne  la  vaccination  obligatoire6  contre  la  rougeole  vient  d’entrer  en  vigueur  début  mars,  alors que  le  pays  a  un  des  taux  de  couverture  les  plus  élevés  (97%  de  primo-vaccination,  93%  deux  doses)  et que  l’on  ne  dénombre  que  très  peu  de  malades  ou  de  décès.    Ce  vote  intervient  2  ans  après  qu’Angela Merkel  ait  annoncé  qu’il  n’y  aurait  pas  de  vaccinations  obligatoires  en  Allemagne7,  parce  qu’en Allemagne,  le  consentement  éclairé  a  ‘de  solides  racines  historiques’.

1  www.centerforhealthsecurity.org/event201 2 https://www.latimes.com/california/story/2019-09-06/california-vaccine-bill-exemption-rules-gavin-newsomlawmakers-agreement 3 https://www.idahostatesman.com/living/health-fitness/article239068753.html 4 https://childrenshealthdefense.org/news/a-parents-perspective-on-virginias-bill-to-mandate-all-vaccines-onthe-cdc-schedule/ 5 https://www.ageofautism.com/2020/02/south-dakota-considers-first-state-bill-to-outlaw-all-vaccine-andmedical-mandates.html 6https://www.bgbl.de/xaver/bgbl/start.xav? startbk=Bundesanzeiger_BGBl&jumpTo=bgbl120s0148.pdf#__bgbl__%2F%2F*%5B%40attr_id%3D %27bgbl120s0148.pdf%27%5D__1583416924978 2020,

feu le consentement éclairé…est désormais déclassé, rangé au musée des vertus démocratiques.  La loi allemande est particulièrement contraignante, car il n’y a pas de possibilité d’enseignement à la maison et l’obligation s’applique aussi aux adultes travaillant dans le secteur de la santé et de l’enseignement. Mais les citoyens n’ont pas dit leur dernier mot, familles et médecins s’associent pour contester la loi devant les tribunaux8. De nombreuses protestations s’organisent dans tout le pays et un évènement majeur est prévu à Munich le 21 mars en présence de Robert F. Kennedy, Jr. et de délégations de toute l’Europe9.  En Belgique, le MR, parti de l’ancien premier ministre Charles Michel, aujourd’hui catapulté à la tête du Conseil européen, vient d’introduire une proposition d’extension des obligations vaccinales10,11 dans la plus grande discrétion.  Il est intéressant de lire que le projet de loi utilise des arguments tels que la solidarité avec les pays en voie de développement ou l’épidémie de rougeole aux îles Samoa. Une preuve de plus que dans les politiques de santé l’agenda international est prépondérant. Ou faut-il dire l’agenda du secteur pharmaceutique? Charles Michel est aussi l’ancien bourgmestre de la ville de Wavre, le siège international de GSK.  La position de Michel devrait faciliter la fusion avec Pfizer pour les produits sans ordonnance et la parapharmacie, ainsi que la croissance de son autre branche de médicaments et vaccins. Il y a quelques semaines, GSK qui est le premier employeur de Wallonie, a annoncé la supression d’un millier de jobs pour investir 500 millions d’euros dans ‘des produits innovants’12 afin de rester compétitif, ce qui n’empêche pas un soutien indéfectible de la part du gouvernement local. Bien entendu, GSK s’est déjà embarqué dans la course au vaccin pour le coronavirus13. A n’en pas douter une des priorités de Charles Michel sera d’exaucer les desiderata du secteur pharmaceutique au niveau national et européen, c’est à dire pousser le programme de l’Union pour assurer une vaccination universelle, du berceau au tombeau. Enfin, partout en Europe, en Grande-Bretagne, en Autriche, en Roumanie, en Slovénie, de l’Ukraine à l’Espagne, on ne parle que de contraintes vaccinales. Devant ces violations manifestes des libertés garanties par la Charte européenne des droits de l’homme et par les Constitutions des nos pays démocratiques, des recours ont été introduits à la Cour Européenne de Strasbourg contre de nombreux Etats.  La Cour, dont la compétence s’étend à 49 pays, vient de décider qu’elle se prononcerait sur la légalité des obligations vaccinales, dans un jugement solennel qui sera rendu par Haute Chambre14 en date du 30 avril sur une série de plaintes contre la République Tchèque15, introduites entre 2013 et 2015.

7 https://efvv.eu/content/images/events/2020-01-31-munich-protest/efvv-history-measles-vaccinationgermany-FR.pdf

8 https://www.individuelle-impfentscheidung.de/impfpflicht/verfassungsbeschwerden-in-karlsruhe%C3%BCbergeben.html

9 https://efvv.eu/content/

10https://www.senate.be/www/webdriver? MItabObj=pdf&MIcolObj=pdf&MInamObj=pdfid&MItypeObj=application/pdf&MIvalObj=117440659

11 https://www.sudinfo.be/id166096/article/2020-02-07/rougeole-coqueluche-ou-papillomavirus-le-mr-veutdavantage-de-vaccins?fbclid=IwAR1rMtqVZNXIHRoNXkK4BwQwlMskXUFS3YJs-lzI2H3EK-qsYDeHPS8sdLY

12 https://www.sudinfo.be/id168414/article/2020-02-19/malgre-la-restructuration-chez-gsk-la-wallonie-nelachera-pas-le-secteur?fbclid=IwAR31DIbmsU-634uilz0dXjNPSwY9YiClhr4K12FfiAvwMl1s8p0wAsbOETU 13 https://www.bloomberg.com/news/articles/2020-02-03/vaccine-giant-glaxo-joins-global-race-to-combatcoronavirus

14 https://eclj.org/conscientious-objection/echr/vaccination-obligatoire–la-cedh-va-se-prononcer-en-grandechambre?lng=fr&fbclid=IwAR0n0sSya6qwfROKxEXJcRqbdZJXdcBQ_rkBKJJoHUCiGuGLufIQ4HMt6d0

15file:///Users/sentadepuydt/Desktop/telechargements/COURT-%236645001-v147621_13_Vavricka_and_5_others_-_tierce_intervention_a….pdf

C’est un fait indéniable, l’effrayante épidémie de Coronavirus entre en scène à un moment crucial, quand partout les peuples sont en révolte contre le pouvoir de la finance et des multinationales, dont la mainmise sur les gouvernements ne se cache plus. La confiance dans l’industrie pharmaceutique est ébranlée par de multiples scandales, la faillite d’un système économique aberrant s’accélère et les tentatives de déclenchement d’une troisième guerre mondiale se multiplient. S’il est impossible de se faire une idée de la manière dont la ‘crise du coronavirus’ va influencer la redistribution des cartes, il est certain que « Covid 19 » a bon dos pour servir des intérêts politiques dans le cadre d’un projet de gouvernance mondiale. On notera ainsi que le deuxième foyer épidémique est en Iran, un pays qui tout comme la Chine, ne se plie pas aux diktats de l’Occident et qui est actuellement impliqué avec la Syrie et la Russie dans un bras de fer avec la Turquie, l’OTAN et ses alliés traditionnels.  Après avoir refusé toute aide extérieure dans la gestion de la dite pandémie, l’Iran vient de faire un revirement complet, en accueillant l’OMS qui vole à son secours. Il semble que le virus ait contaminé une partie des hauts responsables du gouvernement, dont un proche de l’ayatollah Khamenei et provoqué la mort de l’ancien ambassadeur en Syrie.  Mesure surprenante, on annonce la libération de 54 000 prisonniers ‘non contaminés’ afin d’éviter la contagion dans les prisons16.  La question d’un agenda politique ne semble pas excessive.  En Europe, comble du hasard, la pandémie a d’abord touché les territoires du nord de l’Italie, où l’on retrouve le plus grand nombre de résistants aux obligations,  à savoir la Lombardie et la Vénétie.  La Vénétie s’était fermement opposée à l’extension des obligations vaccinales.  Les militants pour le libre choix avaient protesté pendants des mois, dans des rassemblements atteignant jusqu’à 50 000 personnes, jusqu’à ce que les autorités régionales s’adressent au Conseil d’Etat, estimant que la loi bafouait les libertés constitutionnelles, et exigent une autonomie dans les questions de santé.   Coincidence supplémentaire, mais qui vaut au moins l’anecdote, ce fut aussi le moment où la branche européenne de l’Organisation Mondiale de la Santé prit la décision de transférer son siège à Venise.  Au début de l’alerte pandémique, les autorités italiennes avaient estimé qu’il était inutile d’imposer une quarantaine scolaire de deux semaines aux enfants rentrant d’un voyage en Chine, afin de ne pas les « stigmatiser » (rappelons tout de même que l’accès à l’école publique est interdit aux non-vaccinés toute l’année), et les mesures de « crise » étaient assez débattues, reflétant à la fois les conflits entre partis régionaux et la division des experts. Mais l’OMS semble désormais avoir « pris le contrôle de la situation » et a nommé un conseiller spécial le Dr. Gualtiero Ricciardi (ce dernier avait été contraint de démissioner de l’Institut Supérieur de la Santé en raison d’une très longue liste de conflits d’intérêts non déclarés)  pour piloter la crise du coronavirus.  Depuis lors, la panique et le niveau d’alerte ne cessent d’augmenter, tout comme les accusations d’une gestion « anti-scientifique »17 envers la région de Vénétie.  Aux dernières nouvelles, le pays a annoncé la fermeture de tous les établissement d’enseignement sur son territoire, et de nombreux secteurs sont désormais entièrement paralysés en Italie.   On le voit, les déclarations de la menace épidémique a certainement ses lieux et ses moments de prédilection.  En France, lorsque Buzyn lâche le ministère de la santé pour se présenter aux municipales à Paris, la crise du Coronavirus semble perdre de son importance.

16 https://www.bbc.com/news/world-middle-east-51723398?fbclid=IwAR1WHKf8vJT1BU-Y1A63lt3GrNjNiuw7b1Z_C3AI-8QNxQK1-D7T8vBBXU

17 https://www.fanpage.it/attualita/coronavirus-ricciardi-oms-il-veneto-si-e-comportato-in-manieraantiscientifica/

Mais Covid 19 tombe peut-être à nouveau à pic pour interdire de grands rassemblements, quand le gouvernement  passe la loi sur la réforme des retraites aux forceps avec l’utilisation de l’article 49.318 et des élections qui approchent à grands pas. Vu le tableau qui précède, il convient de se demander si les scénarios de pandémies cataclysmiques n’ont pas plus d’impact sur l’économie et la démocratie que sur la santé.  Il ne s’agit pas de prétendre que les virus n’existent pas.  Chaque année, des milliers de gens meurent à cause de pneumonies qui peuvent être favorisées par différents microbes,  mais les virus, quels qu’ils soient, ne semblent pas devoir poser une véritable menace à grande échelle dans des pays comme les nôtres. Quant à l’hypothèse « bioterroriste » qui ressort à chaque pandémie, elle est peu plausible,  car la solution la plus simple et la plus rapide est d’injecter une substance toxique dans l’air, dans l’eau ou directement dans le corps. (un vaccin par exemple ferait une meilleure arme biologique, offrant un meilleur contrôle et la possibilité de viser des groupes spécifiques. Ne serait-ce pas plus facile de manipuler une campagne de vaccination que de créer et propager un virus?) L’idée même de « pandémie menaçant la planète », telle qu’on nous la présente, a-t-elle vraiment une base scientifique?  La plupart des experts s’accordent sur le fait que les microbes prolifèrent sous certains climats, chez certaines personnes, à certaines périodes, mais surtout chez ceux qui souffrent de malnutrition, de carence, dans un environnement insalubre ou pollué; en un mot ils accompagnent la pauvreté là où, de surcroît, il y a un manque d’infrastructures médicales. Et de toutes évidence, les populations les plus menacées par des maladies respiratoires sont avant tout celles dont l’air est « irrespirable ». A-t-on attiré l’attention sur le fait que les habitants de Wuhan et d’autres villes manifestaient régulièrement pour demander des mesures visant à diminuer la pollution19? Celle-ci a pourtant atteint un niveau qualifié d’extrêmement dangereux et serait responsable de la mort de 410 000 enfants chaque année en Chine, sans compter les adultes! Il y a aussi d’autres éléments propres au contexte chinois qui mériteraient d’être examinés, y compris pour leur effets combinés, par exemple le déployement important du réseau 5G20 (10 000 antennes à Wuhan), et les risques liés à des facteurs génétiques. Ici encore, il faut s’interroger sur la situation politique interne, car il semble que les révoltes populaires ne se soient pas déroulées qu’à Hong Kong, mais aussi dans d’autres parties de la Chine. Certes, on ne peut que spéculer sur la situation chinoise, tant il est difficile d’avoir des informations fiables, mais il est certain que les conditions de vie en Chine avant le coronavirus étaient loin d’être optimales, et que la situation actuelle n’est en rien comparable à celle de l’Europe ou des Etats-Unis. Que penser quand l’OMS passe tout cela sous silence, et n’hésite pas à louer le gouvernement chinois pour  « sa capacité de réponse (à la crise sanitaire), qui est d’un niveau supérieur au nôtre ». S’agit-il de prendre comme en Chine des mesures « encore plus autoritaires », telles que la mise en quarantaine et la confiscation de propriétés sur simple « suspicion de contamination ». Cela donne à réfléchir.  Certainement lorsque l’on apprend que les résidents de NY rentrant des pays « chauds» ont été placés en quarantaine à domicile avec des contrôles surprise de la police du département de la santé et de « détectives sanitaires » plusieurs fois par semaine.

18 https://www.legeneraliste.fr/actualites/article/2020/03/03/ecoeures-par-le-recours-au-49-3-deuxparlementaires-medecins-generalistes-quittent-lrem_321631?xtor=EPR-2-%5BNL_info_du_jour%5D20200303&utm_campaign=NL_infodujour&utm_source=gene&utm_content=20200303&utm_medium=newsle tter

19 https://capitalcambodia.com/polluted-air-could-be-an-important-cause-of-wuhan-pneumonia/

20 https://www.electricsense.com/5g-coronavirus/

En effet, il est important d’alerter le public sur la discordance flagrante entre les discours de plus en plus alarmistes de l’OMS et l’analyse des médecins et scientifiques aux yeux desquels l’épidémie de Covid 19 n’est pas pire que la grippe saisonnière. Ainsi, le professeur Didier Raoult, qui est une des références mondiales dans le domaine des maladies infectieuses, estime que le véritable danger de cette épidémie est plutôt le climat de peur surréaliste qui est entretenu depuis des semaines et dont les conséquences désastreuses se font sentir sur la vie de la population.   Après avoir testé plus de 7000 personnes avec son équipe à l’IHU de Marseille, l’expert n’hésite pas à affirmer que les déclarations de l’OMS sont « déconnectées de la réalité ».  Covid 19 ne devrait probablement pas faire plus de victimes que n’importe quel autre virus respiratoire en circulation et toujours selon le professeur Raoult, les autorités de santé chinoises ont déjà confirmé l’efficacité d’un médicament connu depuis des décennies, la Chloroquine…un médicament qui a déjà fait ses preuves dans le traitement du SARS mais qui fait partie du domaine public et ne rapporte rien. (voir la série de videos de Didier Raoult sur le coronavirus site de l’IHU https://www.mediterraneeinfection.com/ ) Ainsi, certains hôpitaux parisiens ont  déjà réagi en abaissant le niveau d’alerte.  Les personnes contaminées qui ne présentent pas de symptômes sont simplement renvoyées à la maison, sans quarantaine, en insistant simplement sur les mesures d’hygiène élémentaires. Dans un monde sensé, une telle nouvelle devrait faire la une des journaux pour mettre fin à la panique ambiante. Et plutôt que de financer une course effrénée au vaccin et au développement d’une nouvelle molécule miracle,  il faudrait en profiter pour renforcer la capacité des hôpitaux publics. Malheureusement, les politiques semblent faire la sourde oreille, et l’OMS ne communique pas ces informations, préférant au contraire amplifier sa communication alarmante. N’est-il pas temps pour nos gouvernements de s’affranchir des diktats de cette organisation et de revenir à des politiques de santé qui répondent aux véritables besoins de nos populations?  L’OMS aurait normalement de fameux comptes à rendre, car à chaque minute les répercussions économiques dans de nombreux secteurs s’alourdissent. Rappelons que l’organisation est principalement financée21 par les Etats-Unis, la fondation Bill Gates, la Grande-Bretagne et l’Alliance GAVI (un partenariat pour la vaccination avec le monde de la finance, notamment la banque mondiale), ainsi que des contributions directes des compagnies pharmaceutiques et qu’ils en orientent évidemment les politiques. Certains gardent la présence d’esprit de poser les bonnes questions.  A ce propos, une députée italienne, Stefania Zambelli vient d’ailleurs de soumettre une requête écrite 22 au parlement européen, avec la demande de clarifier les financements de l’OMS et la manière dont ses donateurs sont susceptibles d’influencer les politiques de santé en Europe.  Cette énième déclaration anxiogène de ‘pandémie’ devrait en tous cas être l’occasion pour finalement s’interroger sur ce qui sous-tend la logique de ‘la  menace globale’ et de sa propagande visant à imposer le principe de la vaccination obligatoire. La peur ou la liberté? Cette décision nous appartient, mais nous avons le droit d’être intelligents.

Senta Depuydt

Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 288