Le sel favoriserait les maladies auto immunes, ou simplement les mettrait en évidence ?
Commentaire. Les maladies auto immunes sont en pleine explosion. Cet article semble ignorer le rôle des toxiques extérieurs et surtout de l’impossibilité qui est faite aux organismes de faire des maladies aiguës, celles-la mêmes qui nous permettent une bonne immunité.
Le sel est un élément qui aide à définir l’identité, et le centrage sur ce qu’est l’être essentiel en chacun. Cette information, manifestement mal comprise par cet article, montre bien qu’il fait son travail en activant les T lymphocytes et en se concentrant sur certaines zones du corps en difficulté au niveau identité – immunité. Par exemple, dans la peau en cas d’eczéma atopique.
Ne rejetons pas l’action du sel, mais essayons de bien voir la manière dont l’immunité se met en place.
Notons aussi qu’en cas de trop forte rigidification d’un individu sur une fausse identité, un faux self, le sel par son action peut le faire exploser et passer en maladie, comme dans les maladies rénales et cardiovasculaires.
L’ARTICLE :
Le sel est un coupable potentiel pour l’augmentation des allergies et des maladies auto-immunes
Psychomédia – Publié le 23 février 2019
« “Au cours des 50 dernières années, la fréquence des allergies et des maladies auto-immunes a augmenté rapidement, mais la cause est inconnue.” »
Dans une étude publiée en février dans la revue Science Translational Medicine, des chercheurs ont identifié un coupable possible : le sel.
Les lymphocytes T sont des cellules immunitaires qui jouent un rôle important dans ces maladies immunitaires. « “Ils sont un aspect vital de la résistance de l’organisme aux infections, mais, s’ils ne sont pas correctement régulés, ils peuvent aussi développer des réactions pathologiques et commencer à attaquer des parties du corps ou des substances inoffensives telles que des allergènes.” »
Lire la suite de l’article : http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2019-02-23/sel-allergies-maladies-auto-immunes
Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 242
