Le pangolin n’y est pour rien
Commentaire. Corona virus, la pangolin n’y est pour rien.
L’ARTICLE :
Coronavirus : le pangolin n’y est pour rien
C’est parce que l’humain détruit les zones d’habitation des animaux sauvages que les virus se répandent, mutent puis deviennent meurtriers, rappelle Inès Leonarduzzi. Il faudra en tirer la leçon, une fois que la pandémie de coronavirus sera endiguée.
Les Echos – Par Inès Leonarduzzi (PDG de Digital For The Planet) – Publié le 20 mars 2020 à 10h39 – Mis à jour le 20 mars 2020 à 10h42
Confinés chez nous, nous découvrons les limites de l’humanité. La planète est «fermée», jusqu’à nouvel ordre. Bien-sûr, un vaccin sera inventé et déployé, mais le virus reviendra, année après année, plus résistant et différent. Car les pandémies ne datent pas d’hier. Elles existent depuis que nous modifions les habitats naturels. Le fait est que nous manquons de connaissances, nécessaires pour comprendre ce qui nous arrive et éviter les crises futures.
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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 290