Le gouvernement veut s’assurer que le dioxyde de titane (E171), ce produit dans nos dentifrices, n’est pas dangereux Cet additif est utilisé dans de nombreux produits d’usage courant, comme le dentifrice.
Commentaire. E171 Dioxyde de Titane, la bombe à retardement, bien pire que l’amiante.
Un nouvel additif très dangereux et pourtant présent un peu partout.
Peinture : le fameux blanc de titane, Pigment White 6 (PW6), ou CI 77891, mais aussi comme agent opacifiant pour toutes les teintes : papier, plastiques, céramiques, médicaments, dentifrices, chewing-gums, fromages industriels, pâtisseries, confiseries, crèmes solaires, résines de synthèse.
Plusieurs études récentes, dont le très sérieux INRA, le Huffingtonpost et la revue « Que Choisir », confirment son action sur le système immunitaire et son rôle cancérigène pour le cancer du colon.
C’est une véritable bombe à retardement.
« Que choisir » avait déjà sonné l’alerte en 2011 en le comparant à l’amiante.
Le Pr Gilles Eric Séralini, nous explique que les nanoparticules ont des formes moléculaires qui ne sont ni reconnues, ni gérables par notre biologie. Elle agissent aussi à des niveaux qui ne sont pris en compte par les études épidémiologiques selon les techniques classiques.
Des sortes d’OVNI totalement incontrôlables.
Ils risquent d’être bien plus dangereux et ingérables que l’amiante. Assez pour l’interdire.
L’ARTICLE :
SANTE – Une étude de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) menée sur des animaux et publiée ce vendredi 20 janvier montre que l’exposition orale au dioxyde de titane (E171), additif utilisé dans l’industrie agroalimentaire et de nombreux produits d’usage courant (dentifrices, crèmes solaires), est susceptible d’entraîner des effets sur la santé.
Malgré tout, les résultats de cette étude ne permettent pas d’extrapoler ces conclusions à l’homme.
Au regard des conclusions de cette étude, les ministères chargés de l’Economie, de la Santé et de l’Agriculture ont décidé de saisir conjointement l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) afin de déterminer si l’additif alimentaire E171 présente un éventuel danger pour les consommateurs.
Les résultats de cette saisine seront connus à la fin du mois de mars.
En février 2011, Que Choisir avait déjà alerté sur les risques liés au dioxyde de titane. « Avec le dioxyde de titane, on se retrouve dans la même situation qu’avec l’amiante il y a 40 ans », affirmait même le professeur Jürg Tschopp, prix Louis-Jeantet de médecine 2008, qui avait piloté une étude franco-suisse sur les effets toxiques de ce nanomatériau.
http://www.huffingtonpost.fr/2017/01/20/etude-inra-anses-dioxyde-de-titane-e171/
Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 151