Le cuivre, meilleur ennemi des bactéries

Commentaire :

Publié dans la lettre de Médecine du sens N° 27

Les médecines anciennes, Egyptiennes, Grecques et même Aztèques viennent nous apprendre et nous donner des solutions là ou la médecine moderne se retrouve en échec.

Le cuivre tout simplement permet de lutter efficacement contre les maladies nosocomiales, ces infections que vous attrapez à l’hôpital et qui tuent chaque année 3500 personnes en France.

Ces infections sont liées à des microbes qui sont devenus de plus en plus résistants au fur et à mesure que la médecine et les attaques par des antibiotiques, les ont en quelque sorte rendu méchants.

Nous voyons bien ici le côté « course infernale » dans une forme de raisonnement à côté de la plaque et qui rencontre ses limites. Les limites du raisonnement de la médecine moderne. 

L’ARTICLE :

La médecine face à ses difficultés nouvelles

Le Parisien fait savoir qu’« un congrès dresse aujourd’hui le bilan de l’expérience menée dans deux hôpitaux contre les maladies nosocomiales. Après les Égyptiens, les Grecs et les Aztèques, la France (re)découvre les propriétés du cuivre contre les bactéries ».
Le journal note ainsi qu’« à l’occasion du 25ème congrès de la Société française d’hygiène hospitalière, à Marseille, seront évoquées deux expérimentions menées dans le centre hospitalier de Rambouillet (Yvelines) et au sein du service de néonatalité du CHU d’Amiens (Somme), qui se sont équipés de poignées de porte, rampes d’accès et autres éléments en cuivre labellisés Antimicrobial Copper, en vue de lutter contre les maladies nosocomiales , qui tuent chaque année 3.500 personnes en France ».
Le Parisien relève que « le nombre de bactéries a chuté sur les surfaces de contact. Une étude américaine, réalisée il y a 3 ans, révélait déjà que l’utilisation du cuivre permet de réduire de plus de 40% le taux d’infection dans les hôpitaux ».
Le Dr Patrick Pina, responsable de l’équipe opérationnelle d’hygiène de l’hôpital de Rambouillet, déclare ainsi : « Nous tenons une piste sérieuse de prévention de la diffusion des bactéries multirésistantes. Il faut poursuivre dans ce sens et intensifier les recherches ».
Le quotidien note que le « message [a été] entendu puisque 5 maisons de retraite de Champagne-Ardenne vont suivre la même dynamique, sonnant ainsi le coup d’envoi de la plus grande expérimentation menée à ce jour en établissement de santé ».

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