L’Autriche interdit le glyphosate
Commentaire. Il faut dire que les derniers scandales sur notre ministre de la transition écologique montrent bien l’esprit réel de ceux qui nous gouvernent.
Pendant que que la France et l’Europe sont incapables de prendre des mesures concrètes pour faire un véritable changement, ce sont certains pays comme l’Autriche, petit pays critiqué pour ses positions d’extrême droite, ou Bali pays du tiers monde, qui nous donnent la leçon sur les mesures à prendre sur le Glyphosate et les plastiques par exemple.
L’Europe ,alors qu’elle pourrait être le lieu d’un formidable changement, est le marché et la cour de récréation de tous les acteurs toxiques de la planète. Il n’y a plus aujourd’hui de répartition gauche droite, puisqu’il n’y a plus de grain à moudre. Il y a mondialisation ou pas mondialisation.
Ne nous y trompons pas mondialisation = fin de l’espèce humaine à terme bref.
L’ARTICLE :
L’Autriche devient le premier pays de l’UE à interdire le glyphosate
MSN Actualités – LIBERATION 03/07/2019
Le Parlement autrichien a approuvé mardi une interdiction totale du glyphosate sur le territoire national, faisant de l’Autriche le premier pays de l’Union européenne à bannir l’herbicide controversé au nom du «principe de précaution».
Une majorité de députés a voté en faveur de l’amendement proposé par le parti social-démocrate SPÖ, en vertu duquel «la mise sur le marché» de produits à base de glyphosate est «interdite au nom du principe de précaution». Le texte a notamment reçu le soutien du parti d’extrême droite FPÖ.
Cette mesure d’interdiction totale fait débat depuis plusieurs semaines en Autriche, ses opposants faisant valoir qu’elle n’est pas conforme avec la règlementation européenne puisque la licence d’utilisation du glyphosate dans l’UE, renouvelée en 2017 par l’exécutif européen, court jusqu’au 15 décembre 2022.
Lire la suite de l’article : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/r-evolutions/lautriche-devient-le-premier-pays-de-lue-à-interdire-le-glyphosate/ar-AADN4c5?ocid=News
Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 259