L’académie de médecine pose des questions importantes à propos de la PMA

Commentaire. L’académie de médecine pose des questions importantes à propos de la PMA, enfin. Elle parle du rôle du père, essentiel mais qui est évacué par les couples homosexuels que ça embête. Agnès Buzyn trouve cette position « datée ». 

Pourtant c’est essentiel. Comment remettre en question ce qui a structuré l’humanité depuis des centaines de milliers d’années, sans causer de graves problèmes. C’est comme le problème du réchauffement climatique, l’égoïsme et le désir de profiter pour soi, qui n’hésite pas à remettre en péril les générations futures. Il y a une différence entre des situations qui arrivent quand même à générer des enfants et une institutionnalisation de ces situations.

Macron et Buzyn face à la réalité de la vie. 

Avec une petite question : « Vous écoutez l’académie de médecine pour attaquer l’homéopathie quand ça vous arrange. Oserez vous piétiner son avis pour la PMA ? »

Parce que concrètement, si on veut vraiment défendre l’enfant et le rôle du père, il faut concrètement renoncer à la PMA pour tous et toutes.

 

L’ARTICLE :

« L’Académie de médecine émet des réserves sur la PMA pour toutes »

Mediscoop – Date de publication : 23 septembre 2019

La Croix relève qu’« alors que mardi 24 septembre arrive en séance à l’Assemblée le projet de loi de bioéthique, l’Académie nationale de médecine (ANM) pointe «les possibles conséquences médicales» de l’extension de l’aide médicale à la procréation (AMP ou PMA) aux couples de femmes et aux femmes seules. Une extension qui «relève davantage d’une loi sociétale (…) que de la loi de bioéthique», estime-t-elle ».

Le journal remarque : « L’Académie évoque ainsi «la rupture anthropologique majeure» constituée par la conception «délibérée d’un enfant privé de père», qui «n’est pas sans risque pour le développement psychologique et l’épanouissement de l’enfant» ».

Lire la suite de l’article : https://www.mediscoop.net/index.php?pageID=be822d08c679e6a74df54b06ac1d0870&midn=12284&from=newsletter

 

Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 266