La polémique sur Cédric Villani
Commentaire. L’Autisme souffre de deux maux.
L’idéalisation des autismes Asperger qui sont des surdoués dont certains sont célèbres. Et d’autres en difficulté à cause de leurs grandes capacités qu’ils ont du mal à mettre en place et qui les mettent en difficulté d’adaptation. Qualifiés de HP (haut potentiels) de surdoués, souvent « dys ».
La polémique sur Cédric Villani va dans ce sens.
Mais surtout l’autre erreur c’est de dire que l’autisme est génétique, alors que c’est une encéphalopathie toxique.
Cela retarde considérablement une véritable prise en charge et surtout de vraies mesures au niveau national et mondial pour arrêter cette épidémie qui va elle décimer la planète. L’autisme est une maladie toxique tout simplement. Une encéphalopathie toxique. Certes tout être humain est génétique, c’est la base du « terrain », mais terrain n’est pas cause, juste le lieu de réception. Ne pas voir la vraie cause, c’est avant tout éviter de s’y attaquer. Ce sont les toxiques quotidiens, les pesticides, les multiples produits chimiques, les divers métaux lourds, retardateurs de flamme, résidus hormonaux qui intoxiquent le cerveau de nos enfants. Mais qui est prêt à prendre les mesures nécessaires pour arrêter vraiment ces intoxications qui vont détruire nos enfants ? Personne je crois, surtout pas nos dirigeants ! Ce serait remettre totalement en cause notre économie. Alors on continue à dire que c’est génétique, ce qui n’est pas totalement faux, mais juste un élément, l’arbre qui cache la foret.
Dernière chose. L’avantage du battage médiatique sur des épidémies comme le coronavirus qui ne va faire que quelques morts, c’est de ne pas voir l’épidémie d’autisme qui touche 18 millions d’habitants dans le monde (1/50) et qui ne fait que doubler tous les 5 ans. Business is Business.
L’ARTICLE :
Cédric Villani, autiste ? Ce que dit la polémique ?
JIM – Aurélie Haroche
Paris, le vendredi 29 novembre 2019 – Il ne faut jamais rater une occasion de s’offrir l’opportunité de jouer les indignés les belles âmes, qui n’hésitent pas à faire fi de ses clivages idéologiques et de ses animosités personnelles, pour voler au secours des affligés. Ni Ian Brossart, ni Benjamin Grivaux, ni Valérie Pécresse ne l’ont manquée hier. Alors qu’était diffusée une séquence où un journaliste de l’émission Quotidien, Paul Larrouturou, interroge Cédric Villani, mathématicien lauréat de la médaille Fields, candidat à la Mairie de Paris, sur son autisme supposé, une grande partie de la classe politique s’est indignée. Et alors que Cédric Villani répondait calmement : « Est-ce que moi je suis autiste ? Je ne sais pas, je n’ai jamais éprouvé le besoin de me faire diagnostiquer et qu’est-ce que ça changerait », tous ont applaudi. « Remarquable réponse de Cédric Villani à une question de Quotidien » s’est ainsi exclamée Valérie Précresse (Libres !) sur Twitter, quand Ian Brossat (PC) avait lui aussi lancé : « Indépendamment des désaccords de fond avec Cédric Villani, sa réponse à cette question est juste parfaite ».
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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 282