ILS NOUS SOUS-ESTIMENT de Alejandro Jodorowsky
LE TEXTE :
ILS NOUS SOUS-ESTIMENT
Leur plus grosse erreur.
Ils savaient que le collectif humain atteignait une vibration très
élevée.
Mais ils n’étaient pas conscients de la quantité d’âmes éveillées.
Ils ont réalisé une erreur de jugement. Et ils ont eu peur.
Aujourd’hui, ils ne se cachent plus. Et ils sont pressés de lancer
officiellement un « nouvel ordre mondial ».
Maintenant, leurs attaques sont directes et frontales. Et ces attaques
vont augmenter. Ils vont essayer par tous les moyens d’empêcher les
gens de se réveiller. Ils essaieront par tous les moyens que les
personnes « éveillées » ne puissent pas communiquer afin de ne pas
réveiller les autres. Ils tenteront par tous les moyens de faire en
sorte que les éveillés soient considérés comme des fous ou des
criminels.
Mais quoi qu’ils fassent, cela n’a pas d’importance. Le saut quantique a
déjà eu lieu. Il est inarrêtable.
L’humanité considère déjà les plantes et les animaux comme des âmes
qui les animent.
L’humanité respecte déjà la terre mère.
L’humanité comprend déjà qu’il n’y a pas de séparation.
Les âmes qui s’incarnent maintenant arrivent déjà en tant
qu’enseignants ; il ne s’agit plus d’expérimenter, et elles ne
s’incarnent que pour enseigner comment aimer.
Nous pourrons ou non assister à ce changement total – la transition
peut prendre une semaine ou 300 ans –, mais ce changement est
inarrêtable.
Quoi qu’il arrive pendant la transition, n’oubliez pas une chose : c’est
vous qui vous êtes proposé. Pour être ici et maintenant. Quoi qu’il
arrive. Pour voir tout ce que vous voyez. Vous êtes les moteurs du
changement.
Une seule chose est requise de vous. Une seule : ne soyez pas de la
nourriture.
C’est la seule chose que vous devez faire. Une chose simple. Ne soyez
pas de la nourriture.
L’être humain est l’un des générateurs les plus puissants qui soient.
Nous sommes des vortex. En fonction de la polarité vers laquelle vous
vous alignez, vous créez des fréquences hautes, ou bien basses.
Les entités sombres se nourrissent de basses fréquences, et nous les
nourrissons depuis des millénaires.
L’éveil de l’humanité a fait basculer le vortex collectif vers de
hautes fréquences ; c’est pourquoi elles attaquent avec une telle
férocité. Elles sont affamées.
Connectez-vous avec votre âme. Et observez-vous.
Si votre âme résonne avec ces mots, ne donnez pas une seconde de plus
de votre existence pour être de la nourriture pour les entités
sombres. Éliminez les passions de base de votre vie. Haine,
ressentiment, envie, peur, vices, malbouffe, mensonges, ambition.
Egoïsme, tristesse, méfiance. Tout cela génère une énergie dense,
de la nourriture pour ces entités. Soyez conscient de vos émotions.
Écoutez-vous. Uniquement vous.
Et si, à une occasion quelconque, vous vous sentez dans l’une de ces
basses vibrations, changez _ipso facto_ votre énergie. Mettez de la
musique qui vous élève. Chantez pour elle. Dansez. Respirez. Allumez
un bâton d’encens. Embrassez vos chats. Embrassez un ami. Embrassez
votre chien. Embrassez votre mère. Embrassez votre famille animale.
Faites une promenade dans la nature. Méditez. Faites de l’exercice.
Faites ce que vous devez faire, mais par dessus tout, changez cette
énergie immédiatement. Pour ne pas servir de nourriture.
Soyez toujours conscient. La seule chose qui vous est demandée est de
ne pas nourrir les hordes sombres.
Nourrissez votre âme de tout ce qui vous aide à vous élever.
Si vous vous habituez à vivre dans la fréquence de l’amour, votre
réalité se transformera à votre volonté et sans effort. Vous êtes
un être puissant. Vous êtes inarrêtable. Ne craignez rien. Libérez
votre esprit de la matrice. Concentrez votre attention sur ce que vous
désirez.
Mais surtout, amusez-vous, soyez heureux, souriez, chantez, dansez.
Faites l’amour.
Nous sommes vivants en aimant le Tout. Et vous faites partie de ce Tout.
Avec les étoiles et le soleil. Et toutes les galaxies de l’univers.
Vous êtes l’amour.
Alejandro Jodorowsky, « Ils nous sous-estiment », message lancé sur le net
Paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 340