Homéopathie : action spectaculaire de détoxification.
Commentaire. Alors que ce poursuit la véritable machination pour tenter de la détruire, alors que 70 à 80% des français la plébiscite, voilà encore des preuves de son action.
Jean Marc Dupuis, de SNI, raconte l’histoire d’un professeur de pharmacologie converti par une expérience étonnante.
On intoxique des rats avec des doses mortelles de phosphore ou d’arsenic. Puis on laisse un groupe sans traitement et on donne à l’autre des dilutions homéopathie de Phosphorus et de Arsenicum album. Le groupe qui reçoit le remède a beaucoup plus de survie alors que dans l’autre groupe tous les rats décèdent.
Action spectaculaire, parfaitement conforme à la théorie de l’homéopathie, mais bien évidement mécanisme d’action encore indémontrable avec les moyens actuels. Pourtant action scientifiquement irréfutable. Lisez l’histoire.
L’ARTICLE :
Homéopathie : une expérience renversante fait changer d’opinion un professeur de médecine
SNI 28 mai 2019
Chère lectrice, cher lecteur,
« La guerre de l’homéopathie touche peut-être bientôt à sa fin », a annoncé le journaliste médecin Jean-Yves Nau, le 4 avril 2019.
« Après de longs atermoiements, Agnès Buzyn devrait prochainement décider le déremboursement des médicaments homéopathiques [1]. »
Le Dr Nau est optimiste !
S’il suffisait que l’homéopathie soit déremboursée pour que, enfin, les adversaires de l’homéopathie arrêtent de nous casser les pieds !
Je n’y crois pas, vous l’avez deviné.
Le remboursement ne fait pas de différence (mais c’est une question de justice)
Ce qui les rend fous et agressifs, au point de multiplier les « tribunes » haineuses dans les journaux, ce n’est pas qu’on nous rembourse – au taux réduit de 30 %, rappelons-le – le prix de tubes de granules qui excèdent rarement les 2 euros !!
Pour être remboursés, encore faut-il qu’ils soient prescrits par un médecin. Or une consultation par un médecin homéopathe varie de 30 à 55 euros, pour la bonne raison que cela dure beaucoup (beaucoup) plus longtemps qu’une simple consultation conventionnelle à 25 euros.
Le remboursement de la consultation ne s’appliquant que sur les fameux 25 euros, le reste du prix est intégralement à la charge du patient. Ce ne sont donc pas les quelques centimes de remboursement sur les granules qui feront une différence, même si c’est une question de justice vis-à-vis de personnes qui font économiser des sommes importantes à la Sécurité sociale.
D’ailleurs, je vous invite à vous mobiliser et à signer, vous aussi, la pétition contre le déremboursement de l’homéopathie en cliquant ici.
Un problème de foi, ou même de religion
Non, le vrai problème, c’est la croyance, j’oserais même dire la foi dans la « religion de la médecine scientifique ». Cette foi qui est ébranlée par l’homéopathie et par toutes les personnes qui constatent des guérisons « inexpliquées » grâce à l’homéopathie [2].
C’est cela qui démange, qui énerve et qui pousse des personnes par ailleurs raisonnables à devenir agressives avec les autres. C’est cela qui explique la « guerre de l’homéopathie » dont parle le Dr Nau, guerre qui n’a lieu qu’à cause des adversaires de l’homéopathie, car les autres ne demandent qu’une chose : qu’on leur fiche la paix.
Mais tous les va-t-en-guerre de la médecine scientifique ne sont pas entièrement bornés. Il arrive que certains ouvrent les yeux. C’est rare, j’en conviens, et quand cela arrive, c’est compliqué et douloureux. L’histoire qui suit en est un bon exemple.
Il s’agit du témoignage de Marie-Françoise Chamberlain, pharmacienne et homéopathe [3].
Une expérience renversante en homéopathie
Marie-Françoise a obtenu son diplôme d’homéopathe en 1984 à la faculté de Lille, qui formait des étudiants dans ce domaine et délivrait des diplômes tout ce qu’il y a de plus officiel (cette formation et le diplôme ont été suspendus à la rentrée dernière, suite à des pressions [4]).
Voici ce qu’elle explique dans une lettre qui circule sur les réseaux sociaux :
« Lors de la remise de mon diplôme universitaire d’homéopathie à la faculté de Lille en 1984, je fus très étonnée de voir monsieur le Professeur Cazin, Doyen de la faculté de pharmacie, présent à cette cérémonie.
J’avais eu ce professeur de pharmacologie pendant mes études de pharmacie et je connaissais son hostilité ouverte à l’encontre de l’homéopathie. »
En effet, le Pr Jean-Claude Cazin avait changé d’avis, puisque c’était lui-même qui, en tant que doyen de la faculté, avait lancé l’enseignement de l’homéopathie au sein de l’institution.
Il était donc devenu un fervent partisan de l’homéopathie. Par quel miracle ?
Lire la suite de l’article : https://www.santenatureinnovation.com/homeopathie/
Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 253