Hépatite C, un traitement hors de prix qui ne protégerait finalement pas vraiment du cancer

Commentaire. Vous avez tous vu le Solvadis, médicament à 40 voir 80 000 euros de traitement. Et voilà que maintenant, après avoir coûté des fortunes à la collectivité et rempli les caisses du laboratoire américain de son copain Suisse, ce médicament ne protégerait pas vraiment du cancer. Le fabricant a fait croire au miracle pour vendre son médicament une fortune. Cela s’avère une illusion. On fait quoi maintenant?

On pourrait peut être faire comme le Bangladesh, fabriquer le traitement à 200 euros au lieu des 40 000  euros que le laboratoire fait payer en France. Comme ça, on traiterait les malades sans se ruiner.

 

L’ARTICLE :

L’élimination du VHC n’écarte pas le risque de cancer

EGORA – Par Y. P. le 20-03-2019

La mise sur le marché des antiviraux à action directe (AAD), a révolutionné la prise en charge de l’hépatite virale chronique C, avec l‘élimination du virus chez près de 100% des malades. Cependant, tout est loin d’être terminé pour le patient.

On savait déjà qu’un risque de carcinome hépato-cellulaire (CHC) persistait, notamment en cas de fibrose et d’infection prolongée. Mais des chercheurs français sont allés plus loin, en montrant comment le VHC laisse sa trace dans l’ADN des cellules et entraine des modifications favorables au développement du cancer.

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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 245