Dossier exceptionnel sur le sens des désirs alimentaires par Olivier Soulier

 

Couv néosanté Publié dans la lettre de Médecine du sens N° 11

Comment cela fonctionne ?

Quand nous sommes en manque d’énergie, notre glycémie (taux de sucre circulant) baisse, des capteurs biologiques nous envoient un signal et la faim apparait. De même quand notre hydratation baisse, des capteurs nous informent par une soif et nous buvons. Faim et soif sont les deux capteurs physiologiques de base.

L’expérience montre que chaque aliment a de la même manière, une action sur nous et que nous le désirons pour cette action.

Je ne pense pas qu’il y ait un capteur pour chaque aliment, mais il y a une mémoire de ce qu’il nous a fait et de ses propriétés et quand nous avons besoin de cette action et du bien qu’il nous fait, nous le recherchons. Le goût, l’odeur, l’aspect visuel mais aussi la consistance et le bruit interviennent dans cette reconnaissance.

Par sa valeur énergétique et sa composition chaque aliment a une action symbolique et fonctionnelle pour nous.

Au cours de notre enfance nous découvrons les aliments et nous acquérons en nous une banque de donnée d’action et de sens des aliments ». (…)

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