Didier Raoult : « Je n’ai aucun doute sur la chloroquine »

L’ARTICLE :

Didier Raoult : « Au départ, j’avais des doutes sur la chloroquine, mais plus maintenant »

L’Express – Propos recueillis par Thomas Mahler et Anne Rosencher, publié le 26/05/2020 à 12:30 , mis à jour à 13:58 – Article Abonné

ÉPISODE 2. Suite de l’entretien (musclé) accordé par le chercheur à L’Express, où il répond aux premières études négatives parues sur la chloroquine et exprime ses doutes sur l’urgence climatique.

L’EXPRESS Vous rappelez régulièrement, et à juste titre, que le progrès est réel, et que jamais l’humanité ne s’est si bien portée. Mais, si la grande majorité des personnes ont un biais de négativité en sous-estimant cette évolution, vous semblez au contraire être victime d’un biais de positivité, bien moins répandu, qui vous a totalement fait sous-estimer l’ampleur de l’épidémie de Covid-19…

Didier Raoult : J’ai un principe, mais les gens n’écoutent pas : je passe mon temps à dire que je ne prédis jamais rien. Toutes les terreurs précédentes qu’on nous avait annoncées, comme la grippe aviaire, le Sras, le Mers ou Ebola, ont fait pschitt. La somme des morts causées en France sur vingt ans par ces maladies est ridicule si on la compare aux chiffres alarmistes annoncés. En Chine, où cette épidémie a pourtant débuté, le Covid-19 sera au final invisible dans les chiffres de la mortalité. En France, il y aura une surmortalité à Paris et dans le Grand-Est, où cela a été géré n’importe comment. Ici, à Marseille, sur les mois d’hiver et de début de printemps, où il y a toujours une surmortalité, on sera inférieur aux chiffres de 2017 et à l’équivalent de 2018 et 2019, car, cette année, il n’y a pas eu de grippe.

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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 299