Des dépressions liées à un médicament contre la chute des cheveux
Commentaire. Un petit élément de compréhension.
A quoi sert la testostérone chez les hommes et en général.
C’est l’hormone masculine par définition. Celle qui permet de prendre la tête, d’avancer, de chercher des solutions, de chercher une voie de vie et de reproduction. C’est l’hormone de la solution. Celle qui fait que quand une femme explique ce qui lui pose problème et attend une compréhension liéé à l’action des oestrogènes, l’homme répond par des solutions, testostérone.
Elle est essentielle au masculin pour que sa vie s’accomplisse.
Prenons l’info « un médicament le « Propécia » ou finastéride, qui sert à empêcher la chute des cheveux peut donner chez l’homme des dépressions, idées suicidaires, et agit sur l’hypertrophie de la prostate ».
Comment comprendre.
La calvitie est un caractère sexuel secondaire, en clair un signe de virilité. Castrer chimiquement un homme fait disparaitre les signes de virilité, calvitie et érection.
Le finastéride agit en bloquant le métabolisme de la testostérone.
Son action sur la prostate relève du même mécanisme. Un empêchement à l’action masculine déclenche une hypertrophie de la prostate. En quelque sorte, la testostérone essaie de booster un organe qui n’arrive pas à s’exprimer. C’est la cas de nombreux hommes avançant en âge et qui n’ont plus la possibilité d’avoir une sexualité satisfaisante. Castrer l’homme permet d’éviter l’hypertrophie de la prostate. Mais est-ce la solution ?
L’ARTICLE :
Un médicament contre la chute des cheveux lié à des dépressions (ANSM)
Psychomédia Publié le 27 octobre 2017
Des cas de dépression ont été observés chez des hommes traités pour la chute de cheveux avec le finastéride 1 mg (Propecia et génériques) ou pour l’hypertrophie bénigne de la prostate avec le finastéride 5 mg (Chibro-Proscar et génériques), indique l’Agence française du médicament (ANSM).
« “Tout changement d’humeur doit conduire à une interruption du traitement et à une surveillance.” »
Lire la suite de l’article : http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2017-10-27/finasteride-depression
Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 183