Des antidiabétiques qui peuvent aider dans la SEP
Commentaire. La Metformine antidiabétique peut aider à la réparation des gaines de myéline dans la Sclérose en plaque (SEP).
SEP et Merformine ex Glucophage. Ou une action étonnante mais très éclairante.
Essayons de comprendre comment un anti diabétique, connu depuis très longtemps, peut agir sur la reconstitution de la gaine de myéline de la SEP, maladie neurologique apparement totalement différente. Ce type d’action totalement incompréhensible pour la médecine, est très facilement explicable avec la médecine du sens.
Le diabète touche un principe de famille, la tendresse, le soutien, l’affection. C’est une maladie de la nutrition et de l’utilisation du sucre carburant central de la nutrition, version famille alimentaire.
La sclérose en plaque parle aussi de la relation à la famille. Version « famille principes gouvernant la vie ». Dans la SEP, ce sont les cellules de la gaine de myéline qui sont touchées. La médecine appelle parfois la gaine de myéline, les cellules nounou, ce qui explicite bien le lien.
La Metformine restaure la fonction famille dans le diabète comme dans la SEP. C’est simple.
Mais pour comprendre cela, il faut vraiment entrer dans une autre vision de la médecine, une médecine plus globale avec des fonctions de l’être, ici, la fonction lien avec la famille et les origines. Après, cette fonction, quand elle dysfonctionne, peut se manifester par plusieurs types de pathologies.
L’ARTICLE :
Nouvelles données sur l’intérêt des antidiabétiques dans la SEP
AMP NEWS
WASHINGTON, 14 mars 2016 (APM) – La metformine et la pioglitazone (Actos*, Takeda) semblent avoir des effets anti-inflammatoires chez les patients atteints à la fois de sclérose en plaques (SEP) et de trouble métabolique, selon une petite étude argentine publiée dans JAMA Neurology.
La prévalence croissante à la fois de l’obésité et des maladies auto-immunes, parmi lesquelles figure la SEP, a poussé à rechercher des mécanismes sous-jacents communs. Des données suggèrent ainsi qu’une obésité au cours de l’enfance et de l’adolescence pourrait influencer le développement ultérieur d’une SEP, rappellent le Dr Laura Negrotto et ses collègues de l’Instituto de Investigaciones Neurologicas Dr Raul-Carrea à Buenos Aires.
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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 268