Cette loi de bioéthique fait froid dans le dos
Commentaire. On change complètement de monde, l’être humain est livré à la manipulation génétique, et la marchandisation. On rejoint là les pires films de science fiction.
Et je vous propose de bien lire et écouter tout ce qui suit.
Il n’y a plus de limites, de nombreuses lignes rouges sont franchies.
On change de monde, comme ça en catimini, au coeur de l’été et de la peur entretenue du Covid.
Il n’y a plus aucune limite et aucun contrôle à l’expérimentation sur embryons. Ils sont totalement livrés aux expérimentations jusqu’à 21 jours (date où le coeur bat)
Il est possible de créer de chimères animaux humains (en implantant des cellules humaines chez des animaux). Le rêve du Dr Mengele, le médecin diabolique de Auschwitz.
Et des transhumanistes.
On pourra faire des bébés médicaments créés comme source de cellules pour un parent malade.
La PMA est largement favorisée et encouragée. Ecoutez bien la vidéo ci-après.
La GPA pratiquée à l’étranger sera systématiquement validée au retour en France.
LE DPI, diagnostic pré-implantatoire, sera élargi pour éliminer tous les trisomiques.
C’est le début des bébés génétiquement modifiés.
Les IMG peuvent se faire jusqu’à la veille de la naissance avec suppression de la période de réflexion d’une semaine.
« La commission spéciale entend également autoriser la création d’embryons transgéniques, c’est-à-dire la modification génétique des embryons humains, qui risque fort d’aboutir, à plus ou moins brève échéance, à la naissance d’enfants génétiquement modifiés ».
L’ARTICLE :
Bioéthique: le débat confisqué
Le Figaro – Par Guyonne de Montjou – Publié le 17 juillet 2020 à 06:30, mis à jour le 23 juillet 2020 à 17:34
DÉCRYPTAGE – Le texte de révision de la loi de bioéthique, qui arrive à l’Assemblée nationale le 27 juillet en deuxième lecture, révolutionne la «génération», la filiation et même l’espèce humaine. Les mesures qui pourraient entrer dans la loi, à la va-vite, donnent le tournis.
Le ministre Olivier Véran n’a assisté à aucun des débats en commission sur le texte qui sera adopté en deuxième lecture à la fin du mois, dans un hémicycle estival. © Alain Guilhot / Divergence
Une frontière se franchit sans bruit. Celle qui sépare la vie humaine de celle de l’animal est sur le point de l’être, dans un silence assourdissant. Ainsi en a décidé une poignée de députés, au début du mois de juillet, dans une pièce reculée de l’Assemblée nationale. Le texte de révision de la loi de bioéthique, qui sera examiné en deuxième lecture à partir du 27 juillet au Palais-Bourbon, a été profondément remanié, réécrit, durci dans ses termes par rapport à sa première version, présentée l’année dernière. «Une dizaine de lignes rouges supplémentaires sont franchies, s’étrangle Patrick Hetzel, député (LR) du Bas-Rhin, l’un des rares mobilisés. C’est gravissime. On autorise le bébé médicament, l’embryon transgénique, les chimères homme-animal, le non-consentement du conjoint sur le don de gamètes, l’élargissement du diagnostic préimplantatoire aux maladies non héréditaires, …»
Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 305