Cancer de l’endométre, la grossesse est protectrice
Commentaire. Ce lien est maintenant démontré, mais l’article s’interroge sur la cause.
Et c’est pourtant simple, comme si la médecine n’avait pas compris la fonction des organes. Un utérus, ça sert à faire des enfants. Et dans l’utérus la part qui accueille spécifiquement l’oeuf, c’est l’endomètre.
Le Dr Michel Moirot l’avait bien montré il y a 50 ans dans son livre : « L’origine des cancers », tout ce qui ne sert pas risque de se cancériser. Ou encore : c’est l’inaccompli qui rend malade. Il avait étudié des communautés religieuses homogènes et démontrait ce fait.
Dans les communautés où le silence est la règle, il y a beaucoup plus de cancers du larynx. Et l’exceptionnel cancer de la verge chez l’homme est assez fréquent dans les communautés où l’abstinence est la règle. Toutes me direz-vous, alors je dirais, quand cette règle est vraiment respectée.
Ici avec l’endométre, la grossesse en tant qu’accomplissement, protège du cancer et particulièrement la première grossesse qui fait passer de zéro à enfant.
L’ARTICLE :
Pourquoi ce lien entre le nombre de grossesses et le risque de cancer de l’endomètre ?
JIM – Dr Roseline Péluchon
Le risque de cancer de l’endomètre est fortement associé au nombre de grossesses. La première grossesse semble la plus « protectrice », mais chaque grossesse supplémentaire apporte ensuite sa contribution. Le mécanisme de cet effet n’est toujours pas bien identifié. Il pourrait s’agir d’une protection conférée par la capacité à concevoir (fertilité), au nombre cumulé de mois de grossesse ou à un évènement survenant à un moment spécifique du déroulement de la grossesse.
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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 262