« Autisme : les antidépresseurs durant la grossesse de nouveau pointés du doigt »


Commentaire d’Olivier Soulier.

Certaines maladies vont nous interroger sur notre mode de vie, notre environnement, la médecine, les pollutions et toutes les pratiques humaines. Elle apparaissent comme des épidémies, mais sont en fait provoquées par notre mode de vie. Et comment pourrai t-il en être autrement ? Aucune autre hypothèse n’est plausible. La génétique n’a pas changé complètement en 30 ans.

La population mondiale va compter un nombre impressionnant de malades avec un coût de soin qui va rapidement devenir impossible à porter.

Pour les petits, l’Autisme, de 1/100 à 1/38 en Corée du sud (champions mondiaux du wifi et téléphones portables).

Les allergies : 3% il y a 50 ans, 20% aujourd’hui. Prévision dans 20 ans : 70% de la population.

Les maladies auto immunes en explosion.

Des maladies dégénératives à n’en plus finir.

Les maladies psychiques, schizophrénie, psychoses, maniaco-dépression.

Des cancers en augmentation constante.

Enfin pour terminer si je peux me permettre ce mot, la maladie d’Alzheimer : 30 millions en Europe dans 20 ans.

A quand les vraies questions ?

L’autisme a ceci de terrible qu’il vient paralyser le développement du cerveau de l’enfant, dans un des moments ou il est le plus rapide et le plus sensible.

Les causes sont multiples et cumulatives. Pour reprendre l’expression de Santa Depuydt, c’est un baril de poudre constitué de : antidépresseurs, métaux lourds, toxiques multiples, ondes électromagnétiques, maladies froides, carences vitaminiques, accouchement provoqué, affections microbiennes, etc. 

Puis passez une allumette dessus qui peut être un stress, un trauma, un vaccin, une anesthésie etc…

et tout bascule, … le cerveau au delà d’un certain niveau ne sait plus gérer, et surtout plus apprendre, dans un moment crucial. Il perd les étapes, paralysé qu’il est par les douleurs et les toxines. Toutes ses gestuelles ne servent qu’a atténuer la souffrance.

Le chemin sera alors très long pour revenir en arrière et découvrir ce qu’il y a bien pu y avoir dans ce baril.

Qu’est ce qu’une société qui détruit à ce point ses enfants ? Essayons de réfléchir pendant qu’il en est encore temps.

L’ARTICLE : « AUTISME : LES ANTIDÉPRESSEURS DURANT LA GROSSESSE DE NOUVEAU POINTÉS DU DOIGT »

Le Point rappelle qu’« en France, 1 enfant sur 100 naîtrait avec un trouble du spectre autistique. Aux États-Unis, ce serait désormais 1 enfant sur 68 qui serait concerné, d’après une récente étude soulignant une augmentation des cas de 30% en 2 ans ».
Le magazine note qu’« alors que la prévalence de cette maladie augmente à un rythme inquiétant dans tous les pays occidentaux, les recherches se multiplient pour mieux la cerner et en comprendre les causes. Ainsi, le déclenchement ou la simulation des contractions pour accélérer l’accouchement ont été évoqués. De même, des liens avec les antécédents des parents comme l’âge du père, le diabète ou l’obésité de la mère ont été établis ».
« Dernièrement, plusieurs études mettent plus spécifiquement en évidence la période sensible de la grossesse, notamment lors des premiers mois, stade de développement précoce du cerveau »,
ajoute Le Point.
Le magazine relève ainsi qu’« il y a quelques semaines, le New England Journal of Medicine publiait une étude montrant que l’autisme serait lié à un développement prénatal anormal du cortex cérébral. D’autres explorations ont pu montrer que les carences durant la grossesse – Vitamine D, B9, notamment – ou l’exposition aux polluants semblent être des facteurs aggravants ».
Le Point indique en outre qu’« une nouvelle étude américaine menée par l’université de California-Davis souligne une nouvelle fois les risques de certains antidépresseurs prescrits pour traiter la dépression durant la grossesse : les inhibiteurs de recapture de la sérotonine ».
Le magazine explique que « près de 1 000 mères d’enfants âgés de 2 à 5 ans ont été interrogées sur l’utilisation de cette classe de médicaments quand elles étaient enceintes. L’équipe a constaté 3 fois plus de cas d’autisme chez les garçons lorsque la mère avait suivi un traitement d’antidépresseurs. Le risque serait majoré lorsque l’exposition a lieu durant le premier trimestre de la grossesse ».
L’hebdomadaire ajoute que « les retards de développement semblent, quant à eux, plus directement corrélés à une exposition durant le troisième trimestre in utero ».
Le Point note que « ce n’est pas la première fois que la prise d’antidépresseurs durant la grossesse est pointée du doigt », mais relève qu’« avant d’en arriver à un consensus scientifique, il faudra sans doute encore de nombreuses autres recherches. Cependant, par prudence, les femmes souffrant de dépression légère auraient intérêt à rechercher des traitements alternatifs plus doux comme la sophrologie, la relaxation ou la méditation durant la grossesse ».
« Pour les cas de dépression sévère, il reste difficile de mesurer l’équilibre entre le bénéfice et le risque d’une prise d’antidépresseurs et c’est à chaque fois une question d’appréciation de la future maman et du médecin qui la suit », observe le magazine.

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Date de publication : 18-04-2014