Alzheimer, l’hypothèse Prion

Commentaire. Le prion, vous vous souvenez cette petite protéine responsable de la maladie de Creutzfeldt- Jacob. Pour la première fois un agent sans ADN qui n’est ni un virus ni une bactérie peut donner une maladie infectieuse. Totalement nouveau.

Ce qui est intéressant, c’est la forme de la molécule qui est responsable du problème, pas la molécule elle-même.

La façon dont elle est pliée.

Cette organisation de la protéine, sa manière d’être pliée la transforme de protéine normale en pathologique. C’est très nouveau.

Même formule – organisation spéciale différente.

Et de se poser la question, quelle information plie différemment la protéine pour la rendre anormale et pathogène, attirant à elle d’autres protéines pathogènes et générant les troubles de la maladie d’Alzheimer avec ses plaques amyloïdes et sa protéine Tau. Deux éléments qui « bien pliés ne sont pas pathogènes, et sont même participant au bon fonctionnement cérébral. 

Comment ne pas penser à l’organisation spatiale différente de l’eau sous l’action d’un produit dilué et qui donne le remède homéopathique.

Et de faire le lien avec les Benzodiazépines qui donnent la maladie d’Alzheimer.

Quelle information donnent-elles, ou quelles informations plutôt bloquent-elles pour déclencher le mauvais pliage des protéines et la maladie d’Alzheimer ?

Enfin, quelles émotions non digérées vont donner des organisation différentes de molécules ?

Et si l’organisation moléculaire était en fait une sorte de mémoire.

Celle d’un fonctionnement sain ou pathologique.

L’homéopathie donnant, elle, une information inverse permettant d’aller vers la guérison. Il va peut être falloir en passer par de telles situations pour que son action soit enfin comprise.

 

L’ARTICLE :

Alzheimer : « l’hypothèse prion ».

Les Echos – Yann Verdo – Publié le 14 déc. 2019 à 14h00

Une étude française vient de prouver le caractère transmissible, de cerveau à cerveau, de la maladie d’Alzheimer. Ses auteurs sont d’accord avec le prix Nobel de médecine Stanley Prusiner, découvreur des maladies à prion, pour dire que cette démence pourrait en faire partie.

Et si la maladie d’Alzheimer était à classer dans la catégorie des « maladies à prion », aux côtés de la tremblante du mouton, de la maladie de la vache folle ou encore, chez les humains, de la terrible maladie de Creutzfeldt-Jakob ? C’est une hypothèse sur laquelle se divise la communauté scientifique depuis plusieurs années.

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Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 278