Allons nous tous devenir idiots ?

Commentaire. Baisse du QI 

C’est sûrement aussi une des conséquences de la toxicité générale du monde.

Au même titre que les TDAH et l’autisme, la baisse de la fécondité…

 

L’ARTICLE :

Allons-nous tous finir idiots ?

JIM – Aurélie Haroche

Paris, le samedi 28 juillet 2018 – Si vous vous apprêtez à lézarder paresseusement sur une plage en n’ayant pour activité intellectuelle que la seule lecture de la météo, peut-être que la question de l’évolution de l’intelligence humaine vous fera sourire, en la comparant à celle de la vôtre pour les jours à venir. La question est pourtant l’objet d’une attention soutenue et désormais inquiète de chercheurs en neurosciences et en sciences sociales du monde entier.

Les années glorieuses

Au commencement était l’âge d’or. Depuis l’élaboration des premiers tests de mesure de l’intelligence (en France au début du siècle dernier par le psychologue français Alfred Binet) et finalement de la mise au point du test de QI en 1939 aux Etats-Unis, l’augmentation était la règle. … …

Coup de froid sur le QI

Mais voici que notre époque n’est plus aussi formidable et que le QI mondial stagnerait, voire baisserait. Plusieurs études auraient fait la constatation de ce déclin, études qui font régulièrement la une des journaux, avec des titres souvent désolés et désolants. La dernière en date a été publiée dans la revue de l’Académie américaine des sciences (PNAS) et révèle la diminution du QI en Norvège et en Finlande chez les enfants nés après 1975.

Et, dans ces deux pays, on note une érosion significative du QI depuis le milieu des années 1990. D’autres données, bien plus fragiles car réalisées sur de petits échantillons, suggèrent aussi un déclin récent du QI en France, et dans quelques autres pays » résumait dans une chronique publiée fin juin le journaliste scientifique Stéphane Foucart dans le Monde.

 

Lire la suite de l’article (pour les abonnés au JIM) : http://www.jim.fr/medecin/jimplus/posts/e-docs/allons_nous_tous_finir_idiots__172965/document_jim_plus.phtml

 

Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 218